Elle a renversé les idoles, établi à la croix de Jésus, persuadé à un million d’hommes de mourir pour en défendre la gloire : enfin, dans ses admirables épîtres elle a expliqué de si grands secrets, qu’on a vu les plus sublimes esprits, après s’être exercés longtemps dans les plus hautes spéculations où pouvait aller la philosophie, descendre de cette vaine hauteur où ils se croyaient élevés, pour apprendre à bégayer humblement dans l’école de Jésus-Christ, sous la discipline de Paul… » Note K, page 310.
J’aimerais bien mieux remarquer au milieu de ce fracas un général tranquille, oubliant le danger qui l’environne de toutes parts, pour assurer la gloire d’une grande journée, ayant l’œil à tout, la tête fière, et donnant ses ordres sur un champ de bataille comme dans son palais.
Les Français ont la gloire d’avoir inventé le looping, la vrille et le tonneau.
Le psalmiste a dit : Les cieux racontent la gloire de Dieu, et le firmament annonce l’ouvrage de ses mains : voyez comment un de nos plus grands poètes a défiguré cette pensée sublime en voulant l’étendre et l’orner.
Les cieux racontent la gloire de leur auteur : tous les êtres disent qu’ils sont l’ouvrage d’une main toute-puissante.
Ainsi les grands spéculatifs, qui ont été des in-sensuels par principe, restent, malgré leur grandeur et leur génie, des incomplets… Les Kant, les Schopenhauer, les Descartes, les Nietzsche, et même les Spinoza, manqueront toujours, malgré leur immense et juste gloire intellectuelle, d’une saveur d’humanité, de ce parfum qui émane de la terre et du cœur de l’homme.
Que la chose vous plaise ou non, moi je m’en fais gloire… Et plus loin : … Écoute ce serment solennel. […] lucidor : C’est un homme qui n’a ni ambition ni gloire, et qui n’exigera de celle qu’il épousera que son cœur. […] ce binocle intelligent, ce creuset de tout ce qui s’appelle génie, talent, esprit, gloire, fantaisie. […] … Vive le feuilleton, ce monocle intelligent, ce creuset de tout ce qui s’appelle génie, talent, esprit, gloire, fantaisie ! […] C’est un des plus beaux efforts de l’art et c’est la gloire de l’écrivain dramatique ou du romancier, de savoir nous présenter des coquins semblables à nous, et dont la coquinerie est si naturelle, si tranquille, si inconsciente, si pleine de sécurité, qu’ils ont tout à fait l’air d’honnêtes gens.