La destinée humaine n’y est point connue sous ses traits les plus saillants et les plus généraux. […] Pendant plus de dix siècles, rien dans notre Europe n’a été facile, général, ni simple. […] Des fêtes continuelles et générales animaient les campagnes de la vieille Angleterre. […] Le reflet de cette harmonie générale se répandit sur les lettres et les arts. […] Preuve singulière de la disposition générale de l’esprit de Shakespeare !
« Général, « Je vous remercie de l’intéressant volume que vous m’avez permis de lire. […] « Laissez-moi me féliciter, Général, de la bienveillance que je trouve en vous, et agréez l’expression de mon profond respect, « Sainte-Beuve. »
Point d’idée qui ne soit également commune, à la portée des ignorants comme des beaux esprits, facile à concevoir, plus facile à vérifier, générale ou universelle. […] Devenant plus oratoire, il a fallu que la langue devint plus abstraite, parlant plus générale, et partant plus conforme ou plus analogue à celle de tout le monde. […] … Peut-on se faire une idée plus fausse d’une Providence générale ? […] Mais ce que je suis plus pressé de montrer, ce sont les conséquences qui sont résultées de cette émancipation de la morale générale, et dont on a pu dire — c’est M. […] Nul système général… Les recueils qu’on présente au public ne sont composés que de morceaux détachés et indépendants les uns des autres.
Quoi de plus séduisant pour le Tiers Non seulement cette théorie a la vogue, et c’est elle qu’il rencontre au moment décisif où ses regards, pour la première fois, se lèvent vers les idées générales ; mais de plus, contre l’inégalité sociale et contre l’arbitraire politique, elle lui fournit des armes, et des armes plus tranchantes qu’il n’en a besoin. […] « Un jour593 que l’on parlait devant le ministre de la guerre d’un officier général parvenu à ce grade par son mérite : Ah oui, dit le ministre, officier général de fortune ! […] Chacun, outre le grief général, a son grief personnel. […] Extrait des états dressés par les contrôleurs généraux, I, 175, 205. — Rapport de Necker, I, 376. — Aux 206 millions, il faut ajouter 15 800 000 pour les frais et intérêts des anticipations. […] Mme Vigée-Lebrun, I, 269, 231 (Intérieur de deux fermiers généraux, M. de Verdun à Colombes, M. de Saint-James à Neuilly). — Le type supérieur du bourgeois, du négociant, a déjà été mis au théâtre par Sedaine ( le Philosophe sans le savoir ).
Telle est la première question qu’il faut se poser si l’on veut classer les sociétés et déterminer les influences les plus générales auxquelles elles cèdent. […] En un mot, ce que nous pouvons affirmer de plus général d’une société, après que nous aurons dit qu’elle est ou non volumineuse, dense, mobile, c’est qu’elle est homogène ou hétérogène. […] C’est une loi de la formation des idées qu’elles deviennent plus générales à mesure que les objets qu’elles embrassent deviennent plus variés. […] La quantité des étrangers avec lesquels Rome entrait en rapport l’obligeait à substituer, aux règles spéciales, des règles aussi générales que possible. […] Topinard, Éléments d’anthropologie générale, p. 199.
Le roi ne convoque les états généraux que pour qu’on le supplie de faire ce qu’il a déjà décidé. […] Tout se perdait dans une mollesse générale, dans un manque complet d’attention et de précision. […] Il y a produit une sénilité générale et incurable. […] Enfin, la république doit toujours être en suspicion contre l’hypothèse d’un général victorieux. […] Les conseils généraux de département émaneraient de procédés électoraux analogues, légèrement modifiés.
Seulement, tout métaphysicien qu’il puisse être, l’auteur des Études de médecine générale est encore plus traditionaliste que philosophe, et il laisse à sa vraie place la métaphysique dans la hiérarchie de nos facultés et de nos connaissances, en homme qui sait que, sans l’histoire, les plus grands génies philosophiques n’auraient jamais eu sur les premiers principes que quelques sublimes soupçons… M. le docteur Tessier, qui croit à la science médicale, qui la défend contre les invasions sans cesse croissantes de la physique, de la chimie et d’une physiologie usurpatrice, donne pour chevet à ses idées le récit Moïsiaque, dont tout doit partir pour tout expliquer, et l’enseignement théologique et dogmatique de l’Église. En plein dix-neuvième siècle, lui médecin, il se fait hardiment scolastique, et, comme le robuste et beau pasteur du tableau de Robert, accoudé si grandiosement contre son attelage, l’auteur des Études de médecine générale, appuyé sur le front puissant du Bœuf de Sicile, oppose fièrement saint Thomas d’Aquin à Cabanis. […] Un jour, la Philosophie générale eut assez de cette auge et releva le front. […] Études de médecine générale. — Première partie.