Dès ce moment, à l’âge de vingt ans, il commença une lutte qui a duré jusqu’à la fin de sa vie, pendant vingt-huit ans, une lutte énergique et courageuse contre la misère et la détresse. […] Ces proœmia, que Laplace a supprimés comme des longueurs inutiles et oiseuses, ne sont pas les parties les moins curieuses et les moins fines de l’ouvrage. […] il y a dans Tom Jones un commencement, un milieu et une fin. […] Le Milésien, le Jeune Irlandais, ont été plus heureux, et sont échus à l’esprit fin et délicat d’une femme du noble faubourg. […] Depuis le cinquième siècle jusqu’à la fin du quinzième, le châtiment a participé de la rudesse des mœurs : la jalousie se vengeait par le cloître ou le meurtre.
Sa fin fut atroce. […] Je ne puis que résumer très brièvement la fin du drame. […] Les hommes très civilisés d’il y a cent trente ans étaient des êtres fins, secs, frivoles et de peu de foi. […] Ce qui était pour lui une fin était pour elle un commencement. […] Il en a assez, à la fin, d’être l’esclave et la victime de sa femme.
Il est très probable qu’il va disparaître en très peu de temps, peut-être avant la fin de ma vie. […] Elle ne doit même n’être que cela en son but dernier, en sa dernière fin. […] Tous les arts sont donc comme contraints d’être philosophiques en soi, autant qu’ils le sont ou qu’ils doivent l’être par leur fin dernière. Ils dérivent de la psychologie ou plutôt ils sont tout psychologiques en eux-mêmes ; et ils arrivent à leurs fins véritables dans la morale. […] — Au fond donc, le but de l’artiste est de plaire, et la fin de l’art est de plaire, et l’œuvre d’art est faite pour plaire ?
Ses pièces sont des tableaux délicats, fins, ambrés, pleins d’une lumière si pure, si lumineuse, que la Grèce tout entière nous apparaît dans sa splendeur première, telle que l’ont vue ses héros et ses poètes.
. — Poèmes parisiens : Fleurs du bitume, Ciels de, lit, Vache enragée, Fins dernières, La Vie fâchée, etc.
La langue est aussi trop facile, trop quelconque ; on voit là des marquises avoir « l’œil sympathique et fin », par exemple, et ne pas craindre de se servir, à la rime, de l’adjectif « incontestable ».
De même que « Richard Wagner n’est pas entré dans la légende en savant ou en curieux, mais en créateur », de même que Richard Wagner, « rejetant les aventures sans fin et tous les accessoires du roman, se place du premier bond au centre même du mythe et de ce point générateur recrée de fond en comble les caractères et l’organisme de son drame », de même enfin « qu’en restituant au mythe sa grandeur primitive, son coloris original, il sait y approprier les passions et les sentiments qui sont les nôtres, parce qu’ils sont éternels, et subordonner le tout à une idée philosophique », — de même Édouard Schuré dégage d’une époque historique ses éléments essentiels, lui recrée une émouvante jeunesse, et la fixe en cet état dans l’imagination humaine.