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2067. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1859 » pp. 265-300

Et que personne de ceux qui sont morts ne soit revenu dans le rêve d’un vivant, à ce moment où il est délié de la vie, un père pour avertir son fils, une mère, une mère !

2068. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préface des « Derniers Jours d’un condamné » (1832) »

Du reste, dans la vie privée, cet homme du roi peut être un honnête homme, bon père, bon fils, bon mari, bon ami, comme disent toutes les épitaphes du Père-Lachaise.

2069. (1872) Les problèmes du XIXe siècle. La politique, la littérature, la science, la philosophie, la religion « Livre I : La politique — Chapitre III : Examen de la doctrine de Tocqueville »

Ces règlements déterminaient la longueur et la largeur des étoffes, les dimensions des lisières, le nombre des fils de la chaîne, la qualité, des matières premières et le mode de fabrication.

2070. (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Bibliotheque d’un homme de goût. — Chapitre II. Des poëtes étrangers. » pp. 94-141

Racine le fils n’a pas pensé comme le premier traducteur de Milton ; il a fait entrer toutes ses beautés & tous ses défauts dans la nouvelle version qu’il nous a donnée de ce Poëte sous ce titre : le Paradis perdu de Milton, traduction nouvelle, avec des notes, la vie de l’Auteur, un discours sur ces Poëmes, les remarques d’Addisson, & à l’occasion de ces remarques, un discours sur le Poeme epique, en trois volumes in-8°. 1755.

2071. (1856) Les lettres et l’homme de lettres au XIXe siècle pp. -30

Écoutez, ô Mécène, et vous aussi, heureux Auguste, ce qu’il faut à ce fils d’affranchi qu’on appelle Horace : votre amitié d’abord, s’il vous juge dignes de la sienne.

2072. (1913) La Fontaine « III. Éducation de son esprit. Sa philosophie  Sa morale. »

Et ceci c’est la fable de le Meunier, son Fils et l’Ane.

2073. (1913) La Fontaine « IV. Les contes »

Un jour cette dame, qui a sa maison de campagne dans un lieu assez rapproché, voit son fils, son petit enfant, languir, devenir malade, très souffrant, et avoir de ces caprices de malade, de ces volontés pathologiques que vous savez.

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