L’humanité n’eût point été complète sans la vie monastique ; la vie monastique ne pouvait d’ailleurs être représentée que par un groupe innombrable : donc tous ceux qui sont entrés dans ce groupe, quelque oubliés qu’ils soient, ont eu leur part à la représentation de l’une des formes les plus essentielles de l’humanité. […] On conçoit d’après cela un état où écrire ne formerait plus un droit à part, mais où des masses d’hommes ne songeraient qu’à faire entrer dans la circulation telles ou telles idées, sans songer à y mettre l’étiquette de leur personnalité.
Il entra à l’Académie Goncourt en 1917. […] On citera entres autres écrits sur l’art : D.
II Avant d’entrer dans l’exposition détaillée des diverses formes de la loi d’association, examinons d’abord les propriétés fondamentales de l’intelligence. […] Dans ces affirmations doit entrer un état actif, une disposition appelée croyance.
Il y a dix ans environ, M. de Musset adressait à M. de Lamartine une Lettre en vers, dans laquelle il se tournait pour la première fois vers ce prince des poètes du temps, et lui faisait, à son tour, cette sorte de déclaration publique et directe que le chantre d’Elvire était accoutumé dès longtemps à recevoir de quiconque entrait dans la carrière, mais que M. de Musset, narguant l’étiquette, avait tardé plus qu’un autre à lui apporter. […] Les autres, un peu plus tôt, un peu plus tard, tous très jeunes, quelques-uns encore enfants, sont donc entrés en lice pêle-mêle, à l’aventure.
Ducloz-Dufresnoy, mort tout récemment sur l’échafaud, et entra comme élève à l’École polytechnique au moment de la création. […] Il essaya, vers 1805, d’entrer dans l’administration et fut quelque temps placé auprès du comte Estève, trésorier général de la Couronne.
« Autrefois, disoit-il, on croyoit à tout, à l’astrologie, à la magie, à toutes les sottises imaginables ; mais actuellement on ne croit à rien. » Entendant un jour des esprits-forts nier l’existence d’un premier être, il entra dans une rêverie profonde. […] Le musicien soutenoit que ce mot rendroit ridicule l’air le plus beau ; & le poëte assuroit le contraire, disoit que tous les mots pouvoient se chanter aussi bien qu’entrer dans les vers.
Le temps est nécessaire pour entrer dans la barbarie comme pour en sortir : ainsi on peut dire qu’il faut des traditions, même pour parvenir à l’état de décadence, et surtout pour s’y maintenir. […] La poésie, sans cesser de se consacrer à célébrer les attributs de Dieu, doit entrer davantage dans les affections de l’homme, et surtout dans la liberté morale ; car, comme nous le dirons tout à l’heure, le règne du fatalisme va finir aussi dans les royaumes de l’imagination, et cela seul change beaucoup toutes les données poétiques.