Vous l’entendez ! […] Il faut entendre raconter à M. […] … » Jean Monteil ne voulait rien entendre. […] » Vous l’entendez ! […] Quelle grâce à tout dire et quelle gaieté à tout entendre !
Quand nous eûmes entendu vingt pages, nous ne fûmes plus tentés d’interrompre. […] J’entendais le bruit de ses pas dans ma solitude. […] Au milieu de la nuit, m’étant assis un instant pour me reposer, j’entendis un bruit léger à l’entrée de ma chambre. […] Elle avait entendu mes plaintes. […] Je l’entendis qui récitait à voix basse le Miserere.
Ne l’entends pas, Duncan ; c’est la cloche mortuaire qui t’appelle au ciel ou aux enfers. […] J’ai frappé le coup. — N’as-tu pas entendu un bruit ? […] Il m’a semblé entendre une voix crier : « Plus de sommeil ! […] Écoutez ; j’entends des chevaux. […] — J’ai entendu galoper des chevaux : qui donc est arrivé ?
Je le crois nécessaire parfois et bienfaisant, mais pas à la façon dont l’entendent ceux qu’il pousse. […] C’est encore là un précepte que le nous a tâché d’inculquer au moi, et sur le sens duquel, au reste, je ne pense pas qu’on puisse s’entendre. […] Sans doute, ni la religion ni la philosophie n’entendent toujours ainsi leur rôle. […] Combien de fois entendons-nous rappeler à quelqu’un son « devoir » pour l’inciter à faire une sottise ? […] Qu’on le veuille ou non, chacun n’entend guère par « liberté » que la « liberté du bien » ou du moindre mal.
Ils sont en eux-mêmes des appétitions, qui, contrariées ou favorisées, s’accompagnent de sensations douloureuses ou agréables ; par conséquent, ils sont des actions et réactions ; et tel est le rapport sous lequel une psychologie mieux entendue doit les étudier. […] Les discernements en apparence indifférents sont un résultat ultérieur ; même en ce cas, l’adhésion que nous accordons à ce qui nous paraît tel ou tel est encore une préférence intellectuelle, une détermination en un sens plutôt qu’en un autre, — ce qui, bien entendu, n’implique aucun libre arbitre. […] Ici encore il faut s’entendre. On peut très bien soutenir que la conscience n’existe pas, si on entend par là quelque chose de différent des fonctions internes que nous venons d’énumérer : sensations, plaisirs et peines, impulsions et aversions, qui sont les seuls faits réels et primitifs. […] Jouir et avoir spontanément conscience de jouir sont absolument identiques : par ce mot de conscience, nous n’entendons pas un phénomène nouveau, un acte nouveau, une fonction nouvelle qui viendrait s’ajouter à la jouissance pour la réverbérer, pour la distinguer du reste, la connaître ou la reconnaître ; nous entendons simplement la transparence intérieure qui fait qu’une jouissance existe immédiatement pour elle-même, non pas seulement pour un autre.
Tout à coup elle entend des gémissements et des lamentations retentir sourdement dans l’appartement du brahmane, son hôte. […] Je soupçonne un mystère sous cette réponse. » Sacountala lui confesse alors la vérité : elle a entendu un jour Canoua en faire le récit à un brahmane errant qui recevait l’hospitalité dans son ermitage. […] Dans la crainte de la flèche, dont il entend d’avance le sifflement, vois comme il contracte et rapetisse en fuyant ses membres délicats ! […] » Sacountala entend ces vers, et rougit de pudeur. […] Il entend venir sa suite au bruit des chevaux dans la forêt.
Vous l’entendez bien. […] Il ne reste plus qu’à s’entendre sur le mot. […] Il faut seulement s’entendre. […] » C’est le badinage qui est consommé, comme dit l’autre, et la cause est entendue. […] Il est bien entendu qu’il ne rime à rien ni ne conduit à rien.