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558. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 364

Ses Fables seront toujours lues avec plaisir, & estimées de ceux qui aiment une versification douce, naturelle & facile.

559. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 211-212

Des doux plaisirs c’est la saison ; De tes quinze ans fais bon usage ; A quinze ans l’Amour fait moisson.

560. (1910) Propos de théâtre. Cinquième série

Elle avait quelquefois l’épigramme douce et jolie à ce sujet. […] Ils sont simples, unis, un peu faibles et d’une douce sensibilité. […] Il est bien doux, il est bien pâle, il est bien peu biblique. […] Racine n’est pas un réaliste et il est un poète tragique, doux et modéré, parce que sa forme est distinguée et élégante ! […] On tient à son moi actuel par les liens de l’habitude et de la douce et lente accoutumance.

561. (1896) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Sixième série « Lamartine »

Je sentais dans mes cheveux un vent doux et frais. […] Les beaux rêves et les doux sentiments ! […]     Le Mont-Blanc cache à l’ombre de ses vastes flancs une vallée et un doux lac, où il se mire. […] Le « doux » Lamartine a su, lui, énergiquement s’en défendre. […] Un vent frais, doux, parfumé, jouait dans les branches et disséminait le pollen.

562. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — Guigou, Paul (1865-1896) »

On y admirera de hautes et mélancoliques pensées, de douces effusions du cœur, un noble et pur souci de l’art et, parfois, une ironie pleine de grâce et de légèreté.

563. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — V — Vacaresco, Hélène (1864-1947) »

Léon Barracand Les âmes mélancoliques ont une heure, une saison qu’elles préfèrent, — l’heure où se lève l’astre des nuits, la triste et douce saison d’automne.

564. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 306-307

Son Epître à Racine, celle à M. le Cardinal de Bernis, & la plupart de ses autres Pieces fugitives, annoncent de l’esprit, de l’imagination, & le talent de rendre, d’une maniere naturelle, & de revêtir d’une versification douce & variée, les différentes affections du cœur & de l’esprit.

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