" c’est la présence d’un dieu qui se fait sentir sur la surface de la terre, au fond des mers, dans la vaste étendue des cieux ; c’est de là que les hommes, les animaux, les troupeaux, les bêtes féroces reçoivent l’élément subtil de la vie, tout s’y résout, tout en émane, et la mort n’a lieu nulle part. " tout ce que vous rencontrerez dans les poëtes du développement du chaos et de la naissance du monde lui conviendra. […] Mais vous, mon ami, convenez qu’à la manière dont je juge un artiste que j’aime, que j’estime et qui montre vraiment un grand talent même dans ce morceau, on peut compter sur mon impartialité. […] Une d’entre elles, après avoir fait en silence plusieurs fois le tour du merveilleux petit président, lui dit : monsieur, voilà qui est beau, il en faut convenir ; mais où est le cu qui poussera cela ? […] Qu’on l’essaye, et que l’on convienne de la nécessité d’un croquis. […] Je n’y entends rien ; et il faut convenir que si la chose n’était pas faite, on la jugerait impossible.
L’éloquence de Démosthene ne convient pas à Thucidide ; une harangue directe qu’on met dans la bouche d’un héros qui ne la prononça jamais, n’est guere qu’un beau défaut. […] Le mot fécond convient plus au génie qu’à la plume. […] Il convient peu à la comédie qui étant l’image de la vie commune, doit être généralement dans le style de la conversation ordinaire. […] Tout le monde convient que Cromwel étoit le général le plus intrépide de son tems, le plus profond politique, le plus capable de conduire un parti, un parlement, une armée. […] Le mot d’habile convient aux arts qui tiennent à la-fois de l’esprit & de la main, comme la Peinture, la Sculpture.
Charles Asselineau Sans réclamer pour lui le premier rang qu’il convient sans doute de réserver à des talents plus amples et plus robustes, je ne crains pas de dire que parmi les écrivains du second, en ce temps-là, il est peut-être celui dont le nom est le plus assuré de vivre, par cette seule raison qu’il s’est plus exclusivement qu’aucun autre attaché à l’art.
Et comme nos mœurs contemporaines y sont traitées ainsi qu’il convient !
Nous convenons de la justice de ce reproche, & c’est ce qui justifie ce que nous avons dit, que ses Ouvrages eussent été des chef-d’œuvres, s’ils n’avoient pas un titre qui l’obligeoit à plus de circonspection & de retenue.
Dave, il est vrai, fait tout dans l’Andrienne de Térence, il est l’ame de la Piece jusqu’au cinquieme acte : mais n’est-on pas forcé de convenir que ses démarches & ses ruses ne servent à rien, puisqu’il faut faire venir à grands frais d’Andros, un nouvel Acteur pour dénouer l’intrigue ?
Si on leur pardonne quelques négligences qui donnent quelquefois de l’agrément au style, & certaines longueurs qui refroidissent, par intervalles, le Lecteur, on conviendra que c’est ce que nous avons de mieux pour le naturel, les graces, & la simplicité.