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1086. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Histoire de la querelle des anciens et des modernes par M. Hippolyte Rigault — [Introduction] » pp. 132-142

Chaque génération à son tour est au haut de l’arbre, voit tout le pays au-dessous, et n’a que le ciel au-dessus d’elle.

1087. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Madame Desbordes-Valmore. »

Tout se régénère, dès qu’elle comprend qu’il faut changer de robe ; tout tremble sous la calotte du ciel, dès que ce Jupiter fronce le sourcil.

1088. (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre XX. Du dix-huitième siècle, jusqu’en 1789 » pp. 389-405

par quelle émotion notre âme pourrait-elle s’élever jusqu’au ciel ?

1089. (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre I. La préparations des chefs-d’œuvre — Chapitre I. Malherbe »

« Comment serait-il possible, disait la pétulante demoiselle de Gournay, que la poésie volât au ciel, son but, avec une telle rognure d’ailes, et qui, plus est, écloppement et brisement ?

1090. (1883) Souvenirs d’enfance et de jeunesse « Préface »

Vise, vise encore le but que tu manques depuis l’éternité ; tâche d’enfiler le trou imperceptible du pertuis qui mène à un autre ciel.

1091. (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XXV. Mort de Jésus. »

Le ciel était sombre 1187 ; la terre, comme dans tous les environs de Jérusalem, sèche et morne.

1092. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125

Cette maison n’était plus que la réunion très bornée de la famille et ces vieux amis ; ce n’était plus le fameux hôtel de Rambouillet, c’était la demeure peu fréquentée d’une femme qui se survit à elle-même, entre la caducité et la décrépitude ; c’était le séjour de ces souffrances et de ces infirmités dont le ciel, dit La Bruyère, a pourvu la vieillesse pour la consolation de ceux qui partent et de ceux qui restent.

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