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1112. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « Le Sahara algérien et le Grand Désert »

Nous, chrétien, nous oserions prendre sur notre conscience la responsabilité du mot audacieux, échappé à un des plus éloquents penseurs que le Catholicisme contemporain ait produits : « L’armée est à la France ce que Notre-Seigneur Jésus-Christ est à la sainte Trinité, car, de même que le sang de Jésus-Christ est dans le pain de l’Eucharistie, dans le pain que mange la France il y a du sang de l’armée ! 

1113. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « Joubert » pp. 185-199

… Je n’en serais pas étonné ; mais regardez bien ce Joubert, et voyez s’il n’est pas Platon à sa manière, — un Platon moderne, chrétien, par conséquent plus Platon, par là, que Platon lui-même.

1114. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Le roi René »

Il était comme lui également de tournoi et de bataille, et il eut aussi son camp du drap d’or, ce François Ier anticipé, dans les fêtes splendides qu’il donna à Nancy à toute la chevalerie chrétienne.

1115. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Les Femmes d’Amérique » pp. 95-110

« Quand le colossal et terrible matérialisme romain se fut développé dans l’empire, — dit un écrivain qui n’est pas suspect, Henri Heine, — il y eut une réaction nécessaire et bienfaisante du dogme chrétien. » Et le Spiritualisme sauva le monde !

1116. (1895) Les œuvres et les hommes. Journalistes et polémistes, chroniqueurs et pamphlétaires. XV « Émile de Girardin » pp. 45-61

Cet homme de l’idée, comme il s’est longtemps appelé, ce penseur formidable, qui dresse contre la morale chrétienne, à laquelle on doit la civilisation du monde, la morale de l’écu, à laquelle nous devrons peut-être sa fin, dans des combats affreux ; cet homme de l’idée, le croirait-on ?

1117. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Madame de Sabran et le chevalier de Boufflers »

Elle n’a point le nez à la Roxelane, qui plaisait tant aux goûts turcs des bons chrétiens d’alors, — un anachronisme !

1118. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XXI. Philosophie positive »

Comte donne à ce que nous, chrétiens, appelons de ce beau nom de charité, tombé du dictionnaire des Anges dans la langue des hommes, le nom grotesque, inventé par lui, d’altruisme.

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