Un critique, un psychologue ne verrait là qu’un cas singulier, l’effet d’une structure mentale extraordinaire et discordante, analogue à celle d’Hamlet, de Chatterton, de René, de Werther, propre à la poésie, impropre à la vie.
Le duc répondit à la supplique que le Tasse lui adressa de Bello Sguardo pour obtenir son congé et son agrément, qu’il ne s’opposait nullement à ce que le malade fût remis aux pères franciscains, si ces religieux consentaient à le recevoir et à répondre de sa santé par leurs soins ; il ajoute que, dans le cas contraire, le Tasse pouvait revenir habiter, libre, son appartement au palais de Ferrare, où il serait servi et soigné comme auparavant par deux serviteurs de la cour.
Ce n’était point le cas, pensait-elle, de faire une halte à Coppet au moment de subir un interrogatoire de l’empereur.
Dans le cas où Elisabeth, qui s’honorait du titre de la reine vierge, viendrait à mourir sans héritier, Marie Stuart pouvait être appelée à lui succéder sur les deux trônes.
Et dans tous les cas, il restera de glorieux monuments de leur lutte.
Voilà pourquoi elle ne fait aucun cas de la littérature ; elle l’exclut presque, n’en veut pas dans son sein.
On ne sait, après audition, de Tristan, ce qu’il faut admirer le plus en Wagner, de la conception ou de l’exécution : c’est le génie, en tout cas, dans ce qu’il peut avoir de plus audacieux et de plus puissant.