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295. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » p. 67

COURTILS, [Gratien Sandras de] né à Montargis en 1644, mort à Paris en 1712, est connu par plusieurs Ouvrages historiques, où l’on remarque beaucoup de facilité, mais peu d’exactitude.

296. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » p. 213

Cet Auteur a fait, pendant quelque temps, beaucoup de bruit dans une certaine portion du Monde littéraire, par des Critiques, des Satires, & des Libelles, dont l’extrême malignité ne pouvoit flatter que des caracteres conformes au sien.

297. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » p. 72

Les Italiens cependant font beaucoup de cas de sa Traduction en Vers des Odes d'Anacréon, écrite en leur Langue.

298. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — Y. — article » p. 528

On y trouve, en revanche, beaucoup de courage & de fermeté à s'élever contre la Philosophie, toutes les fois que l'occasion s'en présente.

299. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « Prévost-Paradol » pp. 155-167

Ce fameux journal des rhéteurs reconnut immédiatement en Prévost-Paradol un soliste capable d’exécuter beaucoup de morceaux qui, depuis longtemps, ne pouvaient plus sortir des vieux gosiers fatigués de ses instrumentistes ordinaires… Saint-Marc Girardin ressemblait à un cachalot qui expire. […] Je l’ai vu à un autre endroit… Prévost-Paradol a l’espèce de prudence familière à beaucoup de jeunes gens de cette génération sans jeunesse.

300. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Collé »

Donnez une chiquenaude à cette vieille couronne de roses et de lierre qui a tant usé de chapeaux de Roger-Bontemps, et vous verrez apparaître de là-dessous un front ferme et froid, une tête solide qui n’a pas une illusion, pas une griserie sur les choses qui grisaient le plus les gens de son temps et même encore beaucoup de ceux du nôtre, sans qu’il soit besoin de boire pour cela au cabaret. […] J’ai toujours dit beaucoup de bien de M. 

301. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « X. Doudan »

Joubert avait, de plus, sur Doudan, la supériorité des idées chrétiennes ; car Doudan, dont l’âme est chrétienne encore dans beaucoup de ses résonnances, malgré le paganisme de son esprit, est un instrument désaccordé. […] Il y a, en effet, beaucoup de points tombés dans ce tissu.

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