Pitollet qui a rassemblé ces détails et quantité d’autres dans un bien curieux article de l’Intermédiaire.
Tandis que ce vers est mauvais : Je suis la froide et la méchante souveraine ; l’oreille ici est attrapée par l’article la à cheval sur les deux hémistiches.
J’ai dit au commencement de cet article que les hommes de génie devaient être plus grands que leur génie pour être grands, ou que du moins leur génie devait faire équation avec leur âme.
La reine imposait silence aux Communes qui la pressaient sur le choix d’un successeur ou sur quelque article de liberté religieuse ; mais les Communes s’étaient assemblées ; elles avaient parlé ; et la reine, malgré la hauteur de ses refus, prenait grand soin de ne pas donner sujet à des plaintes qui auraient pu augmenter l’autorité de leurs paroles. […] On a dit que Shakespeare était catholique ; il paraît du moins certain que telle fut la croyance de son père ; en 1770, un couvreur, raccommodant le toit de la maison où était né Shakespeare, trouva, entre la charpente et les tuiles, un manuscrit déposé là sans doute dans un moment de persécution, et contenant une profession de foi catholique, en quatorze articles qui commencent tous par ces mots : « Moi, John Shakespeare. » Le pouvoir toujours croissant des doctrines réformées avait peut-être rendu les devoirs d’alderman plus difficiles pour un catholique qui, avec l’âge, pouvait aussi être devenu plus scrupuleux sur ceux de sa foi.
Cher père, Après l’article du journal Jugeni Cray, il faut absolument que je fasse cette image. […] Votre dernier article était intéressant et je voulais même à propos de jeune fille vous adresser une question raide.
Introduction. De la nécessité d’étudier les plus vieilles croyances des anciens pour connaître leurs institutions. On se propose de montrer ici d’après quels principes et par quelles règles la société grecque et la société romaine se sont gouvernées. On réunit dans la même étude les Romains et les Grecs, parce que ces deux peuples, qui étaient deux branches d’une même race, et qui parlaient deux idiomes issus d’une même langue, ont eu aussi un fonds d’institutions communes et ont traversé une série de révolutions semblables. On s’attachera surtout à faire ressortir les différences radicales et essentielles qui distinguent à tout jamais ces peuples anciens des sociétés modernes.
. — Comme nous écrivions les dernières lignes de cet article, nous recevions une brochure de M. de Laprade qui, sous un titre légèrement hyperbolique : L’Éducation homicide, pose avec éclat la question des réformes à introduire dans le régime de l’éducation imposé indistinctement à l’enfance et à la première jeunesse dans les établissements publics ou privés, dans les collèges de l’État aussi bien que dans les maisons ecclésiastiques.