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733. (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre XV. Des ouvrages sur les différentes parties de la Philosophie. » pp. 333-345

Ces mémoires, avec quelques autres ouvrages qui y appartiennent, sont une des plus belles collections qui puissent entrer dans un cabinet.

734. (1765) Essais sur la peinture pour faire suite au salon de 1765 « Tout ce que j’ai compris de ma vie du clair-obscur » pp. 26-33

Peut-être n’appartiendrait-il qu’à un grand maître de déchirer le nuage qui enveloppait Enée, et de me le montrer comme il apparut à la crédule et facile reine de Carthage : Circumfusa repente Scindit se nubes, et in aethera purgat apertum.

735. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Jules Vallès » pp. 259-268

Les réfractaires de Jules Vallès n’appartiennent pas à la grande nature humaine.

736. (1895) Les œuvres et les hommes. Journalistes et polémistes, chroniqueurs et pamphlétaires. XV « Edmond About » pp. 63-72

La Grèce contemporaine semble vouloir appartenir, ou par le ton ou par le sujet, à cette catégorie distinguée et restreinte des livres légers qui, réussis, sont des œuvres exquises, mais dont on peut dire, comme de certains verres : « On en casse beaucoup avant d’en faire un. » Avec l’invention des chemins de fer, tout livre de voyage est menacé de devenir prochainement une impertinence.

737. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre premier. De la louange et de l’amour de la gloire. »

Mais ces illusions sublimes n’appartiennent ni à toutes les âmes ni à tous les siècles.

738. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre VII. D’Isocrate et de ses éloges. »

L’orateur entreprend de prouver, en faisant l’éloge d’Athènes, que c’est à elle qu’appartient naturellement l’empire, et il exhorte les Grecs à s’unir tous ensemble, pour porter la guerre chez leurs communs ennemis.

739. (1913) Les livres du Temps. Première série pp. -406

Charles de Mazade, dans la Revue des Deux-Mondes, dit : « L’auteur de Madame Bovary appartient à une littérature qui se croit nouvelle et qui n’a rien de nouveau, hélas ! […] Cette vérité profonde n’appartient pas seulement au domaine de la religion, mais à tous les champs de l’activité humaine. […] Hérelle, et dont les manuscrits appartiennent, paraît-il, à la bibliothèque royale de Rome. […] Francis Jammes appartient donc avant tout à l’école de la nature. […] La Mise au tombeau du Titien et l’Antiope du Corrège lui ont appartenu.

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