Cette biographie documentaire, officielle dans le meilleur sens du mot, il appartient aux concitoyens d’Amiel de l’écrire, et particulièrement à M. […] Politiquement, elle appartient au roi de Sardaigne. […] Et Mme de Staël, qui appartient certes à la famille des femmes fortes et volontaires, je pense que c’était elle aussi qui faisait les déclarations. […] Il appartenait à la caricature. […] Je vous appartiens corps et âme, cœur et volonté.
Il ne nous appartient point de la nier, non plus que de l’exalter. […] L’art, la famille, la guerre, l’industrie, la richesse et la misère, le bonheur et le malheur : tout appartient au roman. […] Leur point de départ doit se chercher une dizaine d’années plus haut, bien que la meilleure partie de leur œuvre appartienne à l’époque où se circonscrit notre travail. […] La gloire de cette réhabilitation appartient à Sainte-Beuve, qui, dans les poésies de Joseph Delorme, s’écria le premier. […] À l’apparition du Caprice, une grande part du succès appartenait à la mode.
Ce sont les libraires qui ont traité avec nos collègues ; les manuscrits qu’ils ont acquis ne nous appartiennent pas, et ils nous appartiendraient qu’au défaut des planches, nous n’en ferions aucun usage. […] L’Académie serait vaine de vous posséder tous, moi je serais vain de lui appartenir. […] Il me semblait n’avoir plus mie goutte de mon sang qui m’appartînt. […] — Les miens. — Pourquoi, s’ils vous appartenaient, en celer le transport ? […] Et à qui appartenait-il donc, messieurs, de prendre ce soin ?
Peut-être donne-t-on à ces différents traits une valeur qui ne leur appartient pas entièrement. […] Or, la base de cette distinction c’est que la première de ces littératures recèle une sensibilité rêveuse et profonde qui n’appartient pas à la seconde. […] J’appartiens au malheur, l’effroi me pénètre, je gagnerais maintenant à cesser de vivre… Le rêve dont je suis fatiguée va-t-il finir ? […] » Concluons : si Nodier appartient à l’école de la mélancolie, il n’y appartient que sous certaines réserves. […] Il n’appartient donc qu’indirectement à la maladie du siècle.
Philippe Gille Il appartenait à un écrivain comme M.
Gregh appartient à cette famille d’esprits qu’épouvante la grande lumière de midi sur notre jardin des rythmes.
Charles Guérin est un désenchanté ; il appartient à cette génération saturée de science qui ne sait plus croire, qui ne peut plus aimer, et qui exhale en chants amers le regret de son impuissance.