/ 1661
164. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » p. 301

Soubeyran de Scopon, [N.ABCD] Avocat au Parlement de Toulouse, de l'Académie des Jeux Floraux, & de celle des Sciences de la même ville, mort en 1751. […] Soubeyran, à vouloir prouver que la Prose est préférable à la Poésie, dans le genre dramatique : on dira seulement, que son amour pour la Prose le porta à augmenter les fonds du Prix d'Eloquence de l'Académie de Toulouse.

165. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Parny poète élégiaque. » pp. 285-300

On lui reproche La Guerre des dieux et on a raison ; mais les élégies restent, ces élégies sont un des plus agréables monuments de notre poésie moderne. » Fontanes, Projet de rétablissement de l’Académie française, 1800. […] On lisait à l’Académie ces quatre vers qui peignent si bien un profond besoin d’apaisement : Calme des sens, paisible Indifférence, Léger sommeil d’un cœur tranquillisé, Descends du ciel ; éprouve ta puissance Sur un amant trop longtemps abusé ! […] Patin n’était pas du tout convaincu, mais il se contentait de protester à demi-voix ; je faisais de même, en m’irritant toutefois un peu plus vivement de cette faute de goût que l’Académie allait faire, et de cette injure à Parny, là où il est excellent et où il me paraissait le plus digne d’être cité. […] Je demandai alors à relire à haute voix ces quatre vers, en indiquant ce qui les précède dans l’ordre des sentiments et ce qui les amène ; j’en appelai de l’Académie distraite à l’Académie attentive ; j’insistai précisément, je pesai sur l’effet heureux de ce mot tranquillisé, si bien jeté à la fin du vers.

166. (1875) Premiers lundis. Tome III « Sur le sénatus-consulte »

vous n’avez rien gagné auprès des hommes considérables du passé : et ces hommes, tout évincés et déchus qu’ils sont, ont encore leur clientèle ; ils recrutent de jeunes partisans : vous avez contre vous et d’une façon si déclarée qu’on n’y peut fermer les yeux, vous avez contre vous l’Académie française : « Ah ! bah, s’écriait-on, l’Académie ! […] tous avez contre vous, ou du moins vous n’avez pas pour vous une Académie sérieuse, l’Académie des sciences morales et politiques, quoique vous y ayez infusé et fait entrer par décret une dizaine de vos amis ; mais tout cela s’est vite fondu et noyé dans l’ensemble, et l’esprit général n’est point pour vous !  […] Vous avez contre vous maintenant une classe de plus, l’Académie même des Beaux-Arts ; vous l’avez indisposée. » Et l’on répondait : « Ah !

167. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 449

Cat, [Claude-Nicolas le] Docteur en Médecine, Professeur & Démonstrateur Royal d’Anatomie & de Chirurgie, Secrétaire perpétuel de l’Académie de Rouen, Membre de la Société Royale de Londres & de plusieurs autres Académies, né à Blerancourt en Picardie en 1700, mort à Rouen en 1768.

168. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 441

Il a été couronné quatre fois par l’Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, deux fois par l’Académie de Soissons, trois fois par celle d’Amiens, &c.

169. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » p. 327

FRAGUIER, [Claude-François] Abbé, de l’Académie Françoise & de celle des Inscriptions, né à Paris en 1666, mort dans la même ville en 1728. […] Ses Dissertations, insérées dans les Mémoires de l’Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, sont autant de morceaux précieux qui enrichissent ce Recueil, & prouvent que la délicatesse de notre Langue n’étoit pas moins familiere à leur Auteur, que celle des Latins.

170. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » p. 356

FURETIERE, [Antoine] Abbé de Chalivoy, de l’Académie Françoise, né à Paris en 1620, mort en 1688. Il fut exclu de l’Académie, parce qu’on l’accusa d’avoir profité du travail de ses Confreres, pour composer le Dictionnaire Universel qui porte son nom.

/ 1661