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624. (1867) Nouveaux lundis. Tome VIII « Madame Roland, ses lettres à Buzot. Ses Mémoires. »

Nos plus libres auteurs comme Molière et La Fontaine imitent beaucoup eux-mêmes ; le principal, aux yeux de ce dernier, et tout le fin de l’art consiste à savoir rendre sien cet air d’Antiquité.

625. (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Essai de critique naturelle, par M. Émile Deschanel. »

Deschanel et y lire un très bon chapitre sur Molière, une suite de chapitres sur Christophe Colomb, une belle page sur Voltaire.

626. (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Victor Hugo — Victor Hugo en 1831 »

L’incertitude planant sur les premières années d’un grand homme semblera peut-être à certaines gens plus poétique : pour moi, je ne vois pas ce que perdraient Corneille et Molière à ce que leurs commencements fussent mieux connus.

627. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Madame de Krüdner et ce qu’en aurait dit Saint-Évremond. Vie de madame de Krüdner, par M. Charles Eynard »

C’est ainsi que parlerait Nicole ; c’est ainsi que Bossuet parle de l’horrible fin de Molière.

628. (1892) Boileau « Chapitre II. La poésie de Boileau » pp. 44-72

Or c’était un médiocre moraliste que Boileau : il n’avait rien de ce qui fait les Saint-Simon, les Molière, ni même les La Bruyère.

629. (1887) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Troisième série « Octave Feuillet »

Il se déguise en peintre pour se rapprocher d’elle (mais beaucoup moins gaiement que dans le Sicilien de Molière) et vient barbouiller les murs de l’église dont elle est paroissienne.

630. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre quatrième »

., images décevantes, à la suite desquelles on est allé jusqu’à l’excès d’ôter le nom de poète à Molière et à La Fontaine.

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