C’est la loi éternelle, éternelle comme Zeus, que ce fatal talion qui poursuit le coupable. » — Pour les nouveaux dieux, il faut que cela ait un terme. […] Oui, de quelque façon qu’on s’y prenne, il n’y a de terme à la violence que le pardon. […] La meilleure sagesse, quand on a manqué de sagesse et qu’il vous en cuit, c’est la patience… un peu armée. » Il y a encore une autre solution, celle que Molière nous indique en ces termes dans Sganarelle : Voir cajoler sa femme et n’en témoigner rien, Se pratique aujourd’hui par force gens de bien. […] On verrait que le roman de George Sand est, sur ce point, comme le terme extrême et l’aboutissement d’une lente évolution.
Dans une vente de livres qu’il fit avant la publication de cet ouvrage, il offrit aux autres libraires les différents articles de son magasin aux termes d’escompte ordinaires, Mais quand il fut question d’Amelia, il mit l’ouvrage à part comme étant si avidement demandé dans le commerce, qu’il ne pouvait le donner aux conditions d’usage. […] Il entrevoyait au terme de son Odyssée un, enseignement politique. […] Quand elles paraissent et viennent au-devant du lecteur, elles sont vaillantes et bien prises, elles se meuvent avec souplesse, elles sont pleines de grâce et d’agilité ; mais condamnées par le poète à une marche forcée, elles perdent bientôt leur fraîcheur et leur bonne mine ; elles maigrissent avant d’avoir touché le but, elles se courbent comme les vieillards et sont essoufflées au terme de leur course. […] Le réveil de Mergy dans les ténèbres, la main mystérieuse qui l’arrête au passage, et l’imprudent baiser qu’il applique sur une peau tannée, renferment, à mon avis, une leçon profitable sur l’ivresse des aventures ; et malgré la singularité des termes, j’adopte volontiers la comparaison du madère et du sirop antiscorbutique.
Même dans l’intimité, et lorsqu’il contait une anecdote bouffonne, sa voix restait unie, toute calme ; jamais d’éclat ni d’élan ; il disait les détails les plus saugrenus en termes propres… La sensibilité chez lui était domptée jusqu’à paraître absente ; non qu’elle le fût, tout au contraire, mais il y a des chevaux de race si bien matés par leur maître, qu’une fois sous sa main ils ne se permettent plus un soubresaut27. […] Ses ministres cherchèrent un « juste milieu » entre des termes inconciliables. […] Il n’y a pas de conversation possible avec toi. » Le lecteur ingénu du Mannequin d’osier s’arrête, perplexe, devant ce petit discours, et il est presque tenté d’en appliquer les termes — moins sèchement, moins aigrement — au romancier séduisant du Lys rouge, au peintre de Thaïs, au moraliste errant qui va du Jardin d’Épicure à la Rôtisserie de la Reine Pédauque. […] M. de Vogüé, racontant à son tour la chute d’un ministère, nous fait remarquer, en des termes différents, les mêmes espoirs et les mêmes regrets. […] Lorsqu’il mit le pied sur les quais de New-York, il put penser que sa croisière à la recherche de l’énergie s’achevait et qu’en débarquant sur le véritable champ de bataille des Anglo-Saxons il arrivait au terme de ses nostalgiques pèlerinages64.
Il a décerné, par exemple, à Ernest Feydeau un brevet de supériorité dont les termes s’appliquent exactement à Flaubert. […] On a souvent voulu trancher la question, mais plus souvent on l’a effleurée, faute de bien préciser les termes. […] Eu d’autres termes, eu dehors de l’esthétique, n’existe-t-il pas une moralité philosophique ? […] Prenez donc la plume avec la résolution de vous interdire toute banalité ; ne mettez sur le papier que les pensées en relief ; tâchez de rajeunir les idées, non pas en essayant de les dire autrement, mais en vous efforçant de les voir autrement ; retranchez ce qui est formule ou périphrase ; soyez impitoyable pour l’expression toute faite, pour cette facilité de termes médiocres, qui est le moule élégant des prosateurs ordinaires ; fuyez cette rhétorique alambiquée, qui affecte la profondeur pour dissimuler sa niaiserie. […] Une phrase a beau être harmonieuse ; si les termes n’en sont pas saisissants si l’idée n’est pas en relief, s’il y a trop de mots, l’harmonie ne sert qu’à en faire ressortir la banalité19.
elles duraient comme notre amour, sans terme, sans bornes ! […] Cependant Ulysse lui répondit en ces termes : — Nous sommes des Achéens partis de Troie et égarés par les vents contraires sur le profond abîme de la mer. […] Et voici en quels termes : LE ROI Vous soufflez aux voisins le feu du calvinisme.
Pour extérioriser leurs personnalités tumultueuses, ils adoptent la forme, ou mieux — qu’on permette le terme — la langue picturale plus apaisée des Latins. […] On l’y voit reprendre, en termes à peu près identiques, certaines pages de la Préface à son Théâtre, en y intercalant telles réflexions qui permettent de mesurer le chemin parcouru. […] Jamais on ne parlera de van Lerberghe en termes aussi appropriés, aussi délicats, aussi suavement évocateurs, jamais on ne recréera, au moyen d’un art à ce point compréhensif et cajoleur, le pur enchantement d’une atmosphère quasi divine.
Ce qui est plus étrange, c’est la neutralité appliquée aux œuvres contemporaines, c’est l’immobilisme du critique n’ayant pas l’air de se douter de ce qui se passe au dehors, des bouleversements accomplis, des menaces persistantes, des anxiétés de ceux-ci, des espérances de ceux-là, des nouveaux devoirs créés à l’écrivain par une situation pareille, et répétant, dans les mêmes termes, sur le même ton, ses mêmes jugements à propos des mêmes hommes ; époussetant, rangeant, classant, groupant, étiquetant ses auteurs, comme un préposé aux figures de Curtius qui recommence, chaque lendemain, ses exhibitions de la veille, sans varier d’une syllabe ou d’un geste ; discutant gravement les beautés d’un roman immoral, comme s’il s’agissait de Héro et de Léandre, de Théagène et de Chariclée ; comparant à la loupe les mérites respectifs de deux chansons libertines, comme si un honnête homme ne pouvait s’endormir avant de savoir laquelle est poétiquement la meilleure : tel enfin qu’on se demande si l’on a affaire à un écrivain ou à un géologue, à de la critique ou à de la pétrification littéraire. […] Ce terme expiré, la duchesse, ennuyée de ses redites, livra Dieu pieds et poings liés à M. de Montriveau… » — N’allons pas plus loin ! […] Au bagage dramatique de M. de Balzac, il sied d’ajouter, dans notre hécatombe, ce que j’appellerai l’espèce ou la variété Nucingen, faute d’un terme plus générique ; c’est-à-dire toute cette partie trop considérable de la Comédie humaine où nous voyons reparaître, avec une persévérance digne d’un meilleur sort, les Nucingen, les Matifat, les Gobseck, les Gigonnet, les Camusot, les Popinot, les du Tillet, les des Lupeaux ; personnages pour lesquels il faudrait avoir une clef comme pour les Caractères de la Bruyère, mais avec moins d’agrément et de profit.
Cette crainte, qui était fondée, fit prendre aux parents d’Étienne un terme moyen pour qu’il reçût les conseils de David, sans qu’il fût exposé tout à coup au danger de se trouver au milieu de jeunes élèves dont la conduite fort peu réglée n’était soumise à aucune surveillance. […] Chaque profession, chaque art a ses termes propres ; il en est même qu’aucune périphrase ne pourrait remplacer ; tel est celui de rapin. […] Le 13 janvier 1793, lorsqu’aux termes du décret de la Convention on se mit en devoir d’enlever l’écusson royal de l’académie et du palais de l’ambassadeur de France, la populace romaine entra en fureur contre les Français et se disposa à les égorger. […] À cette même séance du 24, David eut l’occasion de parler des arts, mais dans des termes qui se sentent des agitations révolutionnaires.
En effet, nous avons fait un grand nombre d’expériences sur des veaux de tout âge qu’on, rencontre en grande abondance dans les abattoirs de Paris, et nous nous sommes assuré que ce n’est qu’à une certaine époque de développement, vers quatre ou cinq mois, que le sucre apparaît dans le foie, d’abord en petite quantité, puis la proportion augmente peu à peu jusqu’au terme de la vie intra-utérine. […] Nous avons donc ici trois animaux pris dans les mêmes conditions, dont l’un a été tué sans avoir été soumis à l’expérience, pour nous servir de terme de comparaison, et dont les deux autres ont été soumis à l’action du froid jusqu’à ce que leur température se soit abaissée à 19 degrés, avec cette différence, que l’un de ces animaux a été abandonné à lui-même, et est mort en se refroidissant successivement. […] On achève enfin, pour avoir un terme de comparaison complet, en prenant la température dans l’aorte en pénétrant par l’aorte ventrale, sur laquelle on a préalablement placé des ligatures. […] D’un autre côté, le foie présente dans son tissu des quantités de sucre de plus en plus grandes, à mesure qu’on approche du terme de la gestation ; il était encore très logique de penser que les urines devaient être sucrées de plus en plus en approchant de la naissance ; or, c’est encore ce qui n’a pas lieu.
Molière, qui n’entendait rien au jargon de la chasse, pria un chasseur de lui indiquer les termes qu’il devait employer. […] Nous venons de voir dans la pièce même, qu’elle parut d’une manière marquée, sous les auspices de Louis XIV, et l’Histoire des théâtres dit en propres termes : « Ce roi qui venait de se déclarer le protecteur de Molière, fut indigné qu’à l’occasion de L’École des femmes, dont ce monarque, ami des arts, sentait toutes les beautés, on se fût permis, contre l’auteur, des personnalités ; ce prince prit les intérêts de Molière si fort à cœur, qu’il lui ordonna de se venger ; et c’est à cet ordre que L’Impromptu de Versailles dut sa naissance. » Nous voilà, le lecteur et moi, fort embarrassés pour décider si sa majesté ordonna à Molière de se venger, par estime pour lui, ou parce qu’elle fut indignée que les critiques osassent se déchaîner contre une pièce dont elle avait fait l’éloge. […] Les auteurs dramatiques, alarmés souvent avec raison sur le sort de leurs pièces, trouveront-ils vraisemblable que le jour même où devait avoir lieu la reprise du Tartuffe, de cet ouvrage poursuivi avec tant d’acharnement, Molière se soit occupé de toute autre affaire ; il sollicita et obtint un canonicat de la chapelle royale de Vincennes, pour le fils du docteur Mauvilain, qui lui fournissait les termes de médecine dont il avait besoin ? […] Dans la superbe scène qui suit celle-ci, Carlos s’explique en ces termes avec ses trois rivaux : De cet anneau dépend le diadème, Il vaut bien un combat, vous avez tous du cœur, Et je le garde. — À qui, Carlos ?
Par contre, chaque fois que j’ai dû me servir de mots appartenant à la langue esthétique ou psychologique, je me suis efforcé d’atteindre à la clarté par l’exactitude et la propriété des termes. […] J’examinerai tout d’abord la question de la mise en scène dans ses termes les plus généraux, ce qui me permettra de formuler des lois générales d’où il sera ensuite plus facile de déduire les règles particulières. […] Non, le mobile qui nous pousse au théâtre n’est pas aussi désintéressé qu’on le pense ; nous voulons y goûter du plaisir dans toute la force du terme et y éprouver des sensations réelles, qui mettent en émoi notre organisme tout entier. […] Quant à nos pièces modernes, il me paraît nécessaire que les auteurs mettent un terme à la confusion qui dure depuis trop longtemps entre les actes et les tableaux, et qu’ils réservent le nom d’acte à toute suite de scènes formant un tout dramatique partiel, terminé par cette interruption du spectacle qu’on appelle un entracte.
Le poète raconte à peu près dans les mêmes termes que l’anachorète les apparitions séduisantes du fantôme qui troublait son repos et ses prières.
Si je pouvais, pour me rendre plus intelligible, employer ici un terme de médecine, je dirais que dans ma pensée les arts ne sont que les excitants, les grands et énergiques cordiaux de l’intelligence et du sentiment par les sens.
La fille Mireille et les étrangers se saluent dans les termes de cette simple et modeste familiarité, politesse du cœur de ceux qui n’ont pas de temps à perdre en vains discours.
morte avant la première ride sur son beau visage et sur son esprit ; la duchesse de Maillé, âme sérieuse, qui faisait penser en l’écoutant ; son amie inséparable la duchesse de La Rochefoucauld, d’une trempe aussi forte, mais plus souple de conversation ; la princesse de Belgiojoso, belle et tragique comme la Cinci du Guide, éloquente et patricienne comme une héroïne du moyen âge de Rome ou de Milan ; mademoiselle Rachel, ressuscitant Corneille devant Hugo et Racine devant Chateaubriand ; Liszt, ce Beethoven du clavier, jetant sa poésie à gerbes de notes dans l’oreille et dans l’imagination d’un auditoire ivre de sons ; Vigny, rêveur comme son génie trop haut entre ciel et terre ; Sainte-Beuve, caprice flottant et charmant que tout le monde se flattait d’avoir fixé et qui ne se fixait pour personne ; Émile Deschamps, écrivain exquis, improvisateur léger quand il était debout, poète pathétique quand il s’asseyait, véritable pendant en homme de madame de Girardin en femme, seul capable de donner la réplique aux femmes de cour, aux femmes d’esprit comme aux hommes de génie ; M. de Fresnes, modeste comme le silence, mais roulant déjà à des hauteurs où l’art et la politique se confondent dans son jeune front de la politique et de l’art ; Ballanche, le dieu Terme de ce salon ; Aimé Martin, son compatriote de Lyon et son ami, qui y conduisait sa femme, veuve de Bernardin de Saint-Pierre et modèle de l’immortelle Virginie : il était là le plus cher de mes amis, un de ces amis qui vous comprennent tout entier et dont le souvenir est une providence que vous invoquez après leur disparition d’ici-bas dans le ciel ; Ampère, dont nous avons essayé d’esquisser le portrait multiple à coté de Ballanche, dans le même cadre ; Brifaut, esprit gâté par des succès précoces et par des femmes de cour, qui était devenu morose et grondeur contre le siècle, mais dont les épigrammes émoussées amusaient et ne blessaient pas ; M. de Latouche, esprit républicain qui exhumait André Chénier, esprit grec en France, et qui jouait, dans sa retraite de la Vallée-aux-Loups, tantôt avec Anacréon, tantôt avec Harmodius, tantôt avec Béranger, tantôt avec Chateaubriand, insoucieux de tout, hormis de renommée, mais incapable de dompter le monstre, c’est-à-dire la gloire ; enfin, une ou deux fois, le prince Louis-Napoléon, entre deux fortunes, esprit qui ne se révélait qu’en énigmes et qui offrait avec bon goût l’hommage d’un neveu de Napoléon à Chateaubriand, l’antinapoléonien converti par popularité : L’oppresseur, l’opprimé n’ont pas que même asile ; moi-même enfin, de temps en temps, quand le hasard me ramenait à Paris.
À quel terme s’arrêtera ton audace ?
Je pris la parole après lui ; Girardin, qui n’a jamais eu de radicalisme contre la clémence, nous appuya ; Hugo lui-même, il faut le dire, soutint en termes très éloquents que la vérité et le génie ne devaient se défendre que par leur innocence.
Dans une lettre adressée à Mme Récamier le 9 mai (1827) et publiée quelques jours après dans le Globe par suite d’une indiscrétion non regrettable, le jeune voyageur s’exprimait en ces termes, qui sont à rapprocher de ceux dans lesquels Eckermann nous parle des mêmes entretiens : Goethe, écrivait M.
Quant au jugement sur la qualité des œuvres, c’est affaire de goût personnel ; et il semble bien aussi de tendances politiques. « Réprobation » et « reconnaissance », « désarroi » et « envahissement » sont des termes qui désignent des préférences de sentiment.
On se souvient de cet endroit où la Raison parle en termes si crus qu’elle se fait traiter par l’ami de ribaude.
Disciple passionné de Diderot d’abord, et, comme le lui dit en termes grossiers une satire du temps, Singe impuissant de son dieu Diderot, Beaumarchais commence par exagérer les doctrines du maître.
Certes cette façon de concevoir les choses est simple et majestueuse ; mais combien elle est pâle auprès de ces grandes évolutions de Pan que la race indo-germanique, à ses débuts poétiques comme à son terme, a si bien su comprendre !
Et lorsque, dans les crises de grandes passions, il lui faut les exclamations les plus violentes, les plus pathétiques, il prend toujours les mêmes trois ou quatre mois : « selig, brunstig, heilig »… les termes génériques dans leur plus simple expression, parce que ceux-ci seuls siéent aux héros de son poème. « L’homme vivant et vrai, dit Wagner, ne décrit pas ce qu’il veut et ce qu’il aime : il aime et il veut… La poésie ne faisait plus que décrire… elle vous donnait le catalogue d’une galerie de peintures, mais pas les tableaux… elle était forcée de devenir platement prolixe… J’ai dû éliminer tout ce qui était superflu, fortuit, indécis, retrancher tout ce qui dénature les vrais sentiments des hommes… je n’ai gardé que le noyau… et je l’ai exprimé dans une langue concise, eu serrant autant que possible les accents de la phrase… » La langue est donc très forte, très concise, abrupte, « quintessenciée ».
: A propos du terme de « drame musical », (Über die Benennung Musikdrama), texte de Richard Wagner publié en 1872.
C’est pour cette raison même que l’évolution ne nous a pas semblé être uniquement « préservation de soi », selon le terme de Darwin, ou « maintien de l’équilibre normal » : l’évolution est ou peut devenir un progrès.
Et cela, il le fait en consultant sa femme qui lui souffle par-ci par-là : un peu de Saturne, un peu de Mercure, des termes de chiromancie… Desbarolles m’a trouvé le sens de la musique !
Et le relisant tous deux, nous trouvons le manifeste mal fait, d’une écriture renfermant trop de termes scientifiques, et s’attaquant trop outrageusement à la personne physique de l’auteur.
Nous disons l’Art comme nous disons la Nature ; ce sont là deux termes d’une signification presque illimitée.
Dis-moi si tu sais « Quel est le sentier de la lumière et le lieu des ténèbres, « En sorte que tu puisses les conduire à leur terme et comprendre la voix de leur demeure ?
Et jusqu’à quel point peut-on s’en rapporter à des descriptions, où l’emploi forcé de termes généraux fait naître dans l’esprit de celui qui écoute ou qui lit une idée non adéquate à la pensée de celui qui décrit, et toujours un peu plus générale ?
Je me soucie bien de tout son genou, de son bout de lit et de son faire, s’il ne m’émeut point, s’il me laisse froid comme un terme.
La pièce étant achevée, M. de Molière vint sur le théâtre, et, après avoir remercié Sa Majesté en des termes très modestes de la bonté qu’Elle avait eue d’excuser ses défauts et ceux de toute sa troupe, qui n’avait paru qu’en tremblant devant une assemblée aussi auguste, il Lui dit : que l’envie qu’ils avaient eue d’avoir l’honneur de divertir le plus grand roi du monde leur avait fait oublier que Sa Majesté avait à son service d’excellents originaux, dont ils n’étaient que de très faibles copies ; mais que, puisqu’Elle avait bien voulu souffrir leurs manières de campagne, il La suppliait très humblement d’avoir agréable qu’il Lui donnât un de ces petits divertissements qui lui avaient acquis quelque réputation, et dont il régalait les provinces. […] Quant à Croisac, gagiste, comme on disait alors, pensionnaire, selon le terme d’aujourd’hui, tout ce que nous savons, c’est que la troupe y tenait peu, car, à Pâques suivant, on fit, en le congédiant, l’économie de ses deux livres par jour. […] Mais une particularité non moins plaisante que la scène ajoutée, particularité que nous ne trouvons pas aussi invraisemblable qu’elle le semble à Bret, c’est que Molière, ignorant entièrement les termes de chasse, s’adressa à M. de Soyecourt lui-même, qui l’initia complaisamment au dictionnaire de la vénerie, jouant à peu près dans cette occasion le rôle que joue Arnolphe dans L’École des femmes lorsqu’il prête cent pistoles à Horace pour mener à bout son intrigue amoureuse. […] Lorsqu’il eut laissé expirer le terme que devait imposer aux Comédiens du Roi l’étiquette, d’accord pour lui avec la reconnaissance, pressé à la fois par l’intérêt de sa gloire, qui ne s’était que soutenue depuis son École des femmes, et par celui de sa troupe, qui devait soupirer après une pièce nouvelle, il se détermina à faire représenter, le 4 juin, le plus correct de ses chefs-d’œuvre, Le Misanthrope.
Un jour interpellé par une belle et noble dame sur la rareté de sa présence dans le monde, il minauda quelques excuses qui, ayant pour but de l’excuser aux yeux de la dame, eurent pour expression des termes peut-être un peu pédantesques, avec un air fort important par-dessus tout. […] Dumas eût été sublime ou exécrable dans ce rôle ; c’était sans terme moyen.
Malgré la construction peu aimable de la dernière période, malgré ces vocatifs inharmonieusement dispersés, chevaux attelés devant la charrette, attachés derrière, montés dedans ; malgré des termes impropres, et de malheureuses recherches d’effets (quelle absurde antithèse que ce « troupeau libre et puissant ! […] Toutes les fois que vous essayez quelque bavardage abstrait, vous abondez en termes vagues et impropres. […] Le néant est inconcevable et les termes négatifs en apparence expriment de simples relations. « Passif » ne signifie même pas « moins actif » ; il veut dire : « dont l’activité est moins visible, moins en dehors ».
En outre, par un très subtil et très bel instinct des destinées du style, ce n’est pas seulement de termes savants, « mendiés » de l’antiquité, que Ronsard a renforci notre langue. Il remit en honneur les vieux mots de terroir, (Bellay non plus n’était pas de l’avis des critiques qui se raillaient des « viells mots françois »), conseilla l’accueil des expressions provinciales, l’usage des termes de métier ; il ne tint pas à la Pléiade que le français ne devînt, dès le xvie siècle, par la fusion épanouie de ses diverses origines, par le mélange, en une syntaxe à la fois ferme et souple, du verbe érudit et de la parole populaire, ce qu’il est enfin devenu en l’âge actuel de la littérature. […] Ce reniement, ils l’enveloppèrent des plus parfaites apparences de respect et d’admiration envers l’œuvre et la gloire de Victor Hugo ; un seul d’entre eux le publia, en termes voilés d’ailleurs, dans une préface qu’il rétracta plus tard en évitant de la rééditer, et qu’on a sans doute eu tort d’insérer dans ses œuvres posthumes. […] Dans les plus hautaines et plus parfaites œuvres de Silvestre, il y a des morceaux « lâchés », de fâcheuses répétitions de termes, un retour parfois irritant des mêmes rimes, et même, oui, des négligences d’écriture ; mais, aussi, dans les plus humbles, dans les plus abandonnées de ses œuvres, il y a des emportements, des envolements de joie et de gloire par lesquels, tout à coup, il rejoint les plus hauts essors du rêve humain ; et, hors du désordre et quelquefois de l’incohérence des tâtonnements, jaillit le vers, le vers tout d’une venue, le vers définitif, le vers sublime et parfait où se réalise, total, un moment de l’âme divinisée !
Rod qui se sert de ce terme, — il lâcha Mme de Stein. […] Ces termes sont un peu gros et vont s’atténuer en se précisant ; mais comme première indication je les crois justes. […] Nous nous disons : « C’est peut-être à ce prix qu’on est le romancier réaliste le plus net, le plus limpide, le plus serré, le plus dru, le plus vigoureux et le plus vrai, et l’écrivain le plus tranquillement et le plus sobrement vigoureux, vrai classique par la simple propriété des termes et le dédain de l’ornement frivole, que nous ayons eu depuis Mérimée. » Tolstoï et Maupassant Juin 1896.
L’illustre auteur de l’Intelligence, le ferme et patient génie qui semblait avoir pris pour devise cette parole de Goethe : « Tâche de te comprendre et de comprendre les choses », n’a pas pu continuer sa recherche jusqu’au terme qu’il s’était assigné. […] Un sombre pessimisme, l’appétit du néant, le goût de la tombe, le désir de clore ses yeux à la duperie des illusions et des apparences, le geste découragé de l’Ecclésiaste, voilà le terme où aboutit ce voyageur qui avait doublé le cap de Bonne-Espérance, pour aller, au pays des Argonautes, vers la chimère de la Toison d’or. […] Ceci me paraît être le dernier terme d’un scepticisme stupéfiant : C’est une grande niaiserie que le connais-toi toi-même de la philosophie grecque.
Son discours, imité des maîtres du barreau, est d’un sérieux et d’une solennité imperturbables avec, çà et là, une subite précision de termes et certaines familiarités de vocabulaire qui me rendent les citations assez difficiles. […] Mais elle soupçonne ce beau gars de lui être infidèle et l’accuse en termes cyniques. […] C’est bien de toute sa chair qu’elle déteste son inepte mari et qu’elle aime son « petit féroce » de beau médecin, et elle exprime cette passion en termes assez hardis et forts. […] » Mais Boubouroche, blessé du terme et rectifiant : « Huit jours après, Adèle et moi, nous associions nos deux existences, ce qui n’est pas la même chose. — Peuh !
J’ajoute que, s’il craint d’oublier sa langue, ailleurs il nous parle des bourgeois d’Uzès en des termes qui nous donnent assez bonne opinion de la vie provinciale dans ce coin de vieille France : Ils causent des mieux… et pour moi, j’espère que l’air du pays va me raffiner de moitié, pour peu que j’y demeure ; car je vous assure qu’on y est fin et délié plus qu’en aucun lieu du monde. […] Dans la première des Visionnaires, il reproche en ces termes à Desmarets ses premiers ouvrages : Chacun sait que sa première profession a été de faire des romans et des pièces de théâtre, et que c’est par là où il a commencé à se faire connaître dans le monde. […] Boileau le qualifie en ces termes : Esprit né pour la cour, et maître en l’art de plaire, Guilleragues, qui sais et parler et te taire.
Et, quand l’une des sciences, qui ne seront jamais réunies pour former ensemble cette inconnue que nous avons l’imprudence d’appeler déjà la Science, aura commencé de prendre tournure, « notre planète sera bien vieille et touchera au terme de ses destins » ; le soleil aura perdu sa chaleur et les hommes, retirés au fond des mines, brûleront les derniers morceaux de houille ? […] Mais où l’on voit que sa critique littéraire dépend de sa philosophie générale, c’est à son idée, pour ainsi dire, épicurienne aussi de la littérature ; idée qu’il a souvent exprimée, en termes ravissants et persuasifs. […] Les petits faits vrais qu’ils avaient à noter ne comportaient ni la ciselure, ni la mélodie, ni le choix minutieux des termes. […] Et s’il y a de magnifiques allégories, en tout cas le procédé de l’allégorie est un ornement, vain le plus souvent : l’allégorie, analogue au rébus, met en un langage difficile ce qu’on aurait vite fait de dire en termes simples.
Nous donc aussi, laissant notre âge et ses querelles, Et tant d’opinions s’accommoder entre elles, Cloîtrons-nous en notre œuvre, et n’en sortons pour rien, Afin que le Seigneur, notre invisible maître, Venu sans qu’on l’attende et se faisant connaître, Trouve tout à bon terme, et nous dise : « C’est bien. » Les fautes que j’ai à relever dans ce recueil, sont en petit nombre. […] L’art étant devenu la littérature facile, et la quantité ayant été préférée à la qualité, la solidarité n’était plus possible entre la critique et l’auteur, qu’aux termes qui règlent les sociétés de commerce. […] Et, à ne les prendre que comme des gens de style qui ont prétendu remanier la langue française, toutes leurs beautés nouvelles, toute cette langue métaphorisée, transfigurée, qui exprime des idées métaphysiques avec des termes de chimie, qui se fait scientifique, faute de pouvoir être positive, tout cela lui a-t-il laissé seulement un doute sur la prose de Bossuet et de Voltaire, sur la poésie de Molière et de La Fontaine ?
Asham, vous le savez, est sérieux et calme, il s’appuie sur la vieillesse pour supporter les maux de l’existence ; en effet la vieillesse d’un penseur n’est pas débile, l’expérience et la foi le fortifient, et quand l’espace qui reste est si court, un dernier effort suffit pour le parcourir ; ce terme est encore plus rapproché pour moi que pour un vieillard, mais les douleurs rassemblées sur mes derniers jours seront amères.
Sous le règne de je ne sais plus quel empereur, qui vivait deux mille six cents ans avant Jésus-Christ, le premier ministre fut chargé de mettre un terme au désordre qui existait dans les échelles musicales.
On avait lu aux troupes, qui étaient pleines d’ardeur, une proclamation courte et énergique, conçue dans les termes suivants : « “Soldats, la seconde guerre de Pologne est commencée…” » « Ainsi le sort en était jeté !
XXXV De ce jour le prince de Talleyrand se replia dans une respectueuse humeur contre la diplomatie inique de Bayonne ; il ménagea même si peu les termes de son opposition que Napoléon s’emporta jusqu’aux invectives contre lui en plein conseil, lui reprochant quoi ?
Salviati et l’archevêque se rapprochèrent ; il leur parla de moi en termes les plus obligeants, et recommanda à ce dernier de m’absoudre de tous mes péchés, et de me faire toutes les caresses possibles, ce qu’il avait déjà fait lui-même.
Mais comme au lac profond et sur son limon noir Le ciel se réfléchit, vaste et charmant à voir, Et, déroulant d’en haut la splendeur de ses voiles, Pour décorer l’abîme y sème les étoiles, Tel dans ce fond obscur de notre humble destin Se révèle l’espoir de l’éternel matin ; Et quand sous l’œil de Dieu l’on s’est mis de bonne heure, Quand on s’est fait une âme où la vertu demeure ; Quand, morts entre nos bras, les parents révérés Tout bas nous ont bénis avec des mots sacrés ; Quand nos enfants, nourris d’une douceur austère, Continueront le bien après nous sur la terre ; Quand un chaste devoir a réglé tous nos pas, Alors on peut encore être heureux ici-bas ; Aux instants de tristesse on peut, d’un œil plus ferme, Envisager la vie et ses biens et leur terme, Et ce grave penser, qui ramène au Seigneur, Soutient l’âme et console au milieu du bonheur.
En dehors de ces termes, il n’y a plus rien.
Ce sensitif pudique est un des plus distingués parmi ces artistes joliment maniaques qui sont comme en marge des littératures… Je dois seulement confesser que Joubert exprime ou indique toujours les deux termes de ses comparaisons : c’est, entre autres choses, ce qui le distingue, par exemple, de M.
Un des frères ne goûta pas cela, à cause de cette épithète d’argent qui, selon lui, il le hasardait humblement, ne pouvait être appliquée avec propriété dans les termes et d’une façon raisonnable, à un manche à balai.
On voit dans cet article combien les termes de wagnéristes, de wagnériens peuvent avoir des sens différents selon les contextes.
Il dit que la prison est supportable trois mois, mais que, passé ce terme, il se développe chez le prisonnier un besoin de sortir qui s’accentue tous les jours, et il déclare que le travail est impossible en prison : le travail ne pouvant s’obtenir que dans une séquestration volontaire et non forcée.
Aujourd’hui, comme au temps de La Bruyère, avec cinq ou six termes de l’art on se donne pour connaisseur en musique, en tableaux, en bâtiments, en bonne chère.
En vain s’imaginerait-on que le talent facile et si commun de faire de mauvais ouvrages, qu’on appelle du terme honnête d’ouvrages de société, fût un titre suffisant pour acquérir les qualités de juge : ce n’est qu’en faisant usage de toutes ses forces qu’on peut parvenir à bien connaître les secrets de l’art, encore ce don n’est-il rien moins que prodigué par la nature ; or pour déployer tous les efforts dont on est capable, ce n’est pas à un petit cercle d’amis ou de complaisants adulateurs qu’il faut se borner lorsqu’on écrit : il faut ou se produire au grand jour, ou travailler du moins comme si on y devait paraître.
3° Bien que les preuves exactes fassent défaut de sa participation effective au « conseil de conscience » qui prépara la Révocation de l’Édit de Nantes, il est indéniable qu’il approuvait hautement cet acte néfaste, auquel devait aboutir fatalement sa politique vis-à-vis des protestants, puisqu’aussitôt après la signature de l’édit révocateur, il fait éclater sa joie en des termes qui ne laissent aucun doute sur ses sentiments à l’égard de cette mesure.
Charles aura, non pas construit, mais restauré la voie romaine, et les termes dont se sert notre auteur font croire qu’il avait rappelé ce travail dans une inscription gravée sur la croix. […] Le chevalier prit le terme des neuf jours, mais ensuite il le prorogea au trentième, et ensuite au trois cent trentième, « car les plaisirs qu’il avait sans cesse étaient tels qu’un jour ne lui semblait pas une heure ». […] C’est comme s’il avait dit, dans les termes de l’Évangéliste : Le Fils de l’homme s’en va, comme il est écrit ; mais toi, tu attendras son second avènement.
Ils suivraient le cours des opinions pendant cette époque, chercheraient le point de départ, marqueraient les divers degrés qui ont été parcourus, et le terme qui a été atteint. […] Ce fut alors que la philosophie se crut arrivée au terme qu’elle ambitionnait : des ministres furent choisis dans ses rangs ; et furent appelés à tenir les promesses de leurs écrits ou de leur doctrine. […] Ce sont là les heureuses révolutions ; on sait ce qu’on veut, on marche vers un terme précis, on se repose quand il est atteint.
Ainsi encore dans Zélinde (de Villiers) : « Je ne dirai point que le sermon qu’Arnolphe fait à Agnès et que les dix maximes du mariage choquent nos mystères, puisque tout le monde en murmure hautement. » Molière, qui, dans la Critique, n’a dissimulé ni atténué aucune des accusations portées contre lui, avait fait dire le premier à Lysidas, presque dans les mêmes termes : « Le sermon et les maximes ne sont-ils pas choses ridicules, et qui choquent même le respect que l’on doit à nos mystères ? […] Louis Ducros (et tous les termes en ont été auparavant expliqués avec beaucoup de soin) : « En définitive, ce que Diderot a inauguré au xviiie siècle, c’est la tragédie domestique en prose… et, d’autre part, la tragédie professionnelle. […] Et le Mercure de décembre 1727 le rassurait en ces termes : « On n’a guère vu des pièces du ton de celle-ci. […] Il conseille à son petit frère, en termes précis, de ne plus « jouer » avec Mélisande et de l’éviter autant que possible.
Ce n’est pas tout encore : au lieu de voir dans cet acte volontaire, spontané, de l’âme qui s’élève vers Dieu, une preuve qu’il y a là deux termes distincts, l’âme et Dieu, l’être créé et le Créateur, il les confond en un seul être ; et de cette prise de possession de la divinité par l’âme, il déduit sa doctrine, qui fait de l’âme une portion intégrante de la Divinité. […] Ensuite, il était nécessaire que la même main, en nous ramenant vers ces ineffables douleurs, en fixât nettement le terme, et ne laissât plus planer sur cette destinée si courte ce je ne sais quoi de mystérieux et de légendaire, qui a, de nos jours, égaré sur la trace de Louis XVII un certain nombre d’imaginations royalistes.
Je ne dirai pas : Magnus ab integro sæclorum nascitur ordo ; ce serait trop solennel ; il n’y eut rien d’absolument grandiose ; mais je dirai : Firmus, alter ab integro… ; et la poésie fut à l’avenant de la politique, ferme, assez haute, et fière et brave, nette, sensée, réduite aux termes du devoir, avec des éclairs et des accents d’héroïsme.
Écoutez cependant en quels termes M.
Aussi la comtesse disait-elle à Mme Vauquer, en l’appelant chère amie, qu’elle lui procurerait la baronne de Vaumerland et la veuve du colonel comte Picquoiseau, deux de ses amies, qui achevaient au Marais leur terme dans une pension plus coûteuse que ne l’était la maison Vauquer.
Ce terme limité, que l’on veut leur prescrire, Accroît leur violence, en bornant leur empire10… Porus est de l’école des héros de Corneille ; il en a la grandeur et le langage ; et dans ses invectives contre Alexandre, il en imite le sublime et la subtilité : Quelle étrange valeur, qui, ne cherchant qu’à nuire, Embrase tout sitôt qu’elle commence à luire : Qui n’a que son orgueil pour règle et pour raison ; Qui veut que l’univers ne soit qu’une prison, Et que maître absolu de tous tant que nous sommes, Ses esclaves en nombre égalent tous les hommes !
Quant au terme de gommeux, l’on prétend que c’est l’appellation de mépris, que les femmes donnent dans les cabarets de barrière, à ceux qui mettent de la gomme dans leur absinthe, à ceux qui ne sont pas de vrais hommes.
Un an, avant sa mort, il lui écrivait une lettre, à peu près conçue en ces termes : « Les médecins disent que j’ai une anémie cérébrale, je n’ai pas d’anémie cérébrale, je suis seulement fatigué, et la preuve c’est que je viens de commencer L’Angélus, et jamais je n’ai travaillé avec une facilité pareille, et je marche de plain-pied dans mon livre, comme dans mon jardin.
Par les termes de parenté, d’ancêtres ou de progéniteurs communs, il ne faut pas entendre nécessairement un même individu ou même un seul couple, mais en général une même variété ou une même espèce.
Tu es en bon termes avec lui ? […] Demande-lui un peu s’il n’est pas en bons termes avec tes amis Jacques et Tranquille ?