— Mais la question vraiment peut-elle se poser ? […] Mais ce qu’il a créé demeure vraiment incommensurable avec ce qu’il a reçu. […] Vraiment, la moitié au moins de ce lever de soleil a cessé de produire une image directe, fraîche et parfaite. […] Paul Adam, le contraste de cette critique agissante avec un roman vivant et vraiment « critique », nous les retrouvons chez Balzac. […] Ils ont dû vivre en état de lutte contre ce qu’il y avait de nouveau et de vraiment progressif dans la littérature de leur temps.
On aperçoit aussitôt quels inconvénients en résultent pour des œuvres vraiment élevées ou chastes, et faites pour être lues avec sérieux et avec ensemble.
Il y avait de quoi être embarrassé vraiment et de quoi baisser la tête.
Des comparaisons comme celle de Barbier que je viens de citer, sont vraiment des allégories, et ne présentent plus que des symboles.
Continuer, après de tels livres, à ne voir dans Gabriel Vicaire qu’une façon de « poète du clocher », ce serait vraiment tenir à trop peu de prix les qualités de finesse, d’abandon, de bonhomie délicate, de verve gracieuse et franche, répandues d’un bout à l’autre de son œuvre ; ce serait oublier surtout qu’elles ont passé jusqu’ici « pour le fonds même des poètes de bonne race gauloise », qu’elles ont servi à distinguer tour à tour nos vieux « fableors » anonymes du moyen âge et leurs héritiers directs :
Stoïcisme enrichi d’idéalisme, il ne reconnaît que deux biens : la fermeté inébranlable du vouloir, la souplesse infiniment mouvante et continûment créatrice de la pensée vraiment libre.