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490. (1939) Réflexions sur la critique (2e éd.) pp. 7-263

— Mais la question vraiment peut-elle se poser ? […] Mais ce qu’il a créé demeure vraiment incommensurable avec ce qu’il a reçu. […] Vraiment, la moitié au moins de ce lever de soleil a cessé de produire une image directe, fraîche et parfaite. […] Paul Adam, le contraste de cette critique agissante avec un roman vivant et vraiment « critique », nous les retrouvons chez Balzac. […] Ils ont dû vivre en état de lutte contre ce qu’il y avait de nouveau et de vraiment progressif dans la littérature de leur temps.

491. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LXXI » pp. 281-285

On aperçoit aussitôt quels inconvénients en résultent pour des œuvres vraiment élevées ou chastes, et faites pour être lues avec sérieux et avec ensemble.

492. (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Lamennais — Note »

Il y avait de quoi être embarrassé vraiment et de quoi baisser la tête.

493. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Deuxième partie. Invention — Chapitre IV. De l’analogie. — Comparaisons et contrastes. — Allégories »

Des comparaisons comme celle de Barbier que je viens de citer, sont vraiment des allégories, et ne présentent plus que des symboles.

494. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — V — Vicaire, Gabriel (1848-1900) »

Continuer, après de tels livres, à ne voir dans Gabriel Vicaire qu’une façon de « poète du clocher », ce serait vraiment tenir à trop peu de prix les qualités de finesse, d’abandon, de bonhomie délicate, de verve gracieuse et franche, répandues d’un bout à l’autre de son œuvre ; ce serait oublier surtout qu’elles ont passé jusqu’ici « pour le fonds même des poètes de bonne race gauloise », qu’elles ont servi à distinguer tour à tour nos vieux « fableors » anonymes du moyen âge et leurs héritiers directs :

495. (1904) Prostitués. Études critiques sur les gens de lettres d’aujourd’hui « Chapitre XII. Demain »

Stoïcisme enrichi d’idéalisme, il ne reconnaît que deux biens : la fermeté inébranlable du vouloir, la souplesse infiniment mouvante et continûment créatrice de la pensée vraiment libre.

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