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421. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 94-98

Son Ouvrage porte le caractere d'une ame vraiment Françoise, & d'un esprit au dessus de la Cabale, de ses vengeances & de ses applaudissemens.

422. (1782) Plan d’une université pour le gouvernement de Russie ou d’une éducation publique dans toutes les sciences « Plan d’une université, pour, le gouvernement de Russie, ou, d’une éducation publique dans toutes les sciences — De l’état de savant. » pp. 519-520

Fonder une académie avant que d’avoir pourvu à l’éducation publique, c’est vraiment avoir commencé son édifice par le faîte.

423. (1930) Les livres du Temps. Troisième série pp. 1-288

S’il l’eût été vraiment, il eût compris le Parthénon. […] Le domaine public a vraiment sa raison d’être. […] Vraiment il va un peu loin. […] Pour moi, Barrès ne l’est vraiment point assez. […] Mais ils ne commencent d’exister vraiment que par la suite.

424. (1888) Impressions de théâtre. Première série

Charmante fille vraiment ! […] Or, l’esprit vient assez tôt aux filles, et il n’est vraiment pas nécessaire d’en avancer l’heure. […] Pour moi, je n’irai point partager sa couche, car vraiment ce serait une chose abominable !  […] Ce qu’ils font est légitime, mais n’a vraiment rien d’héroïque. […] S’ils étaient vraiment des gens du siècle dernier, ils se seraient donnés l’un à l’autre dès le premier jour.

425. (1907) Propos littéraires. Quatrième série

Jaurès, il est vraiment trop ravi de M.  […] vraiment, c’est trop de sociologie. […] Le texte est vraiment curieux. […] Le moraliste n’est vraiment moraliste qu’à cette double condition. […] Il était vraiment et solidement populaire pour longtemps.

426. (1888) Impressions de théâtre. Deuxième série

Vraiment il m’ouvrait un monde nouveau. […] Vraiment M.  […] Il a une force en lui, d’où sortira quelque jour une œuvre vraiment belle. […] Vraiment on les hait, et de toute son âme, et l’on voudrait les supprimer. […] Il vit vraiment cette vie idéale, et son métier est de la vivre.

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