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813. (1929) Les livres du Temps. Deuxième série pp. 2-509

Il est vrai que M.  […] Le vrai seul, disait Sainte-Beuve. Et tout le vrai ! […] C’est vrai. […] C’est vrai.

814. (1814) Cours de littérature dramatique. Tome III

Il est vrai que rien n’est plus absurde que cette croix qui fonde la reconnaissance. […] Cela n’est pas vrai. […] Je n’ai pas prétendu, dit-il, mettre une action vraie sur la scène, mais des mœurs vraies. […] Tout cela, il est vrai, n’est pas gai pour un barbon amoureux, prêt à épouser un tendron de seize ans. […] L’École des mères est la meilleure de toutes ; c’est le vrai chef-d’œuvre de son auteur.

815. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » p. 21

Au contraire, nous dirons qu’on y trouve le vrai, qui doit être la base de tout Ouvrage historique, & avec le vrai, de l’ordre, de la clarté, du développement, un style noble, convenable à l’Histoire, & une modération dont on ne doit jamais s’écarter.

816. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92

vous aviez de vrais yeux au théâtre ? des vraies passions ? […] De vrais yeux, Monseigneur ! Vrai Dieu ! […] la vraie Française.

817. (1924) Souvenirs de la vie littéraire. Nouvelle édition augmentée d’une préface-réponse

C’est très Vrai et je le savais. […] Voilà le vrai Victor Hugo !  […] Ce n’était pas vrai. […] — C’est vrai, dit Moréas. […] C’était vrai.

818. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Madame Desbordes-Valmore. »

» et de qui elle écrivait à une amie : « Vous savez que j’aimais et que j’aime sincèrement ce prince, le plus innocent qui ait porté ce nom. » Mais il ne s’agit pas ici de princes travestis ni de roi d’Yvetot : Mme Valmore eut réellement accès auprès de vraies puissances, et il faut voir comme elle en agit avec elles et comme elle sut en user. […] On me l’avait dite élégamment simple et vraie. […] Tant il est vrai que quand il s’agissait d’implorer pour d’autres et de crier grâce, elle ne s’y épargnait pas. […] Mais je suis trop écrasée d’admiration et de larmes pour te rien décrire. — Ce peuple adorable m’aurait tuée en se trompant que je lui aurais dit : « Je vous bénis. » Ne confie cela qu’à la Vierge, car c’est vrai comme mon amour pour elle, — et mon affection pour toi… « … Mon cher mari n’a point de place. […] Nous qui sommes sur le théâtre même des scènes qui viennent d’avoir lieu, nous ne pouvons nous former une opinion vraie des causes qui les ont provoquées.

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