Tailhade se rendit tout à coup célèbre et redouté par les cruelles et excessives satires qu’il appela, souvenir et témoins d’un voyage que nous faisons tous sans fruit, Au pays du mufle.
Un jeune Anglais de distinction, lord Charlemont, se trouvant à Bordeaux en compagnie d’un de ses amis, fut invité par Montesquieu à l’aller voir à La Brède, et dans son journal de voyage il a rendu compte de cette visite en ces termes : Le premier rendez-vous d’une maîtresse chérie ne nous aurait pas tenus plus éveillés toute la nuit que ne fit cette flatteuse invitation ; et le lendemain matin nous nous mîmes en route de si bonne heure, que nous arrivâmes à sa campagne avant qu’il fût levé.
Ce char enveloppé de vapeurs, ce voyage invisible d’un enchanteur et d’un héros au travers du camp des chrétiens, cette porte secrète d’Hérode, ces souvenirs des temps antiques jetés au milieu d’une narration rapide, ce guerrier qui assiste à un conseil sans être vu, et qui se montre seulement pour déterminer Solyme aux combats, tout ce merveilleux, quoique du genre magique, est d’une excellence singulière.
qui semble sous le coup d’un sentiment vif et douloureux, qui voyage seule, sans bagage…, de qui donc ne piquerait-elle pas la curiosité ? […] Mais M. de Amicis ne s’est point borné à voyager et à raconter ses voyages. […] Et cette curiosité, une fois excitée, restera en éveil tant que durera le voyage. […] On trouvera difficilement, dans ses voyages, une description mélancolique. […] En voyage, M. de Amicis éloigne de même de son attention tout ce qui pourrait être pénible ou douloureux.
Ce voyage, ce retour, on le fait sans difficulté, avec un peu de mélancolie, avec une allégresse désabusée. […] Un voyage en Amérique acheva de convertir Bjœrnson au sentiment du concret. […] Les voyages le tentèrent encore ; il était curieux de l’univers. […] Diversion : les péripéties du voyage lui firent oublier ses travaux mathématiques. […] Tu voudrais te lancer dans l’aventure des voyages ?
Flammarion devient le Raphaël du voyage dans l’île d’Utopie de Thomas Morus. […] En voyage. — 1890. […] En voyage est la suite nécessaire de cette merveilleuse suite d’impressions de voyages qui s’appellent : Le Rhin. […] C’était tout un voyage ; heureusement que c’était l’été ! Je ne parle pas des répétitions dans le jour, autre voyage !