Par exemple, on ouvre les volumes, et on trouve tout d’abord, l’un après l’autre, quatre sermons ou projets de sermons sur la Fête de tous les saints. […] [NdA] C’est dans l’avant-propos du volume intitulé Madame de Longueville que M.
Ce volume est une thèse que M. […] On se tromperait cependant si l’on abordait les volumes de sa correspondance et le recueil de ses lettres missives, publiées avec beaucoup de soin par M.
Il n’avait pas donné d’édition en volume de ses vers profanes depuis 1670 ; il en donna un nouveau recueil en 1694. En l’envoyant au docteur Arnauld, depuis longtemps réfugié dans les Pays-Bas, et alors près de mourir, il présentait ce volume profane comme lui ayant été arraché par l’imprimeur, qui s’était emparé des pièces volantes ou copies échappées de ses mains, et qui l’allait publier sans sa permission ; moyennant ce tour, il espérait que la sévérité du docteur se laisserait fléchir.
J’y disais en propres termes, et en m’adressant au poète auquel je venais d’élever dans mon volume une sorte d’autel expiatoire Non que j’espère encore, au trône radieux D’où jadis tu régnais, replacer ta mémoire. […] Muret convient cependant que dans ce volume « il y a quelques sonnets qui d’homme n’eussent jamais été bien entendus, si l’auteur ne les eût, ou à lui ou à quelque autre, familièrement déclarés » et expliqués.
Quand il apprit cette mort trop prévue, il entra dans un deuil sombre : « Jamais je ne vis tant d’affliction, dit son lecteur M. de Catt dans des mémoires encore inédits ; volets fermés, un peu de jour éclairant sa chambre, des lectures sérieuses : Bossuet, Oraisons funèbres ; Fléchier, Mascaron ; un volume d’Young, qu’il me demanda. » Il a consacré à sa mémoire une noble page dans son Histoire de la guerre de Sept Ans. […] [NdA] Voir les deux volumes de lettres publiées à la librairie Didier par M.
J’ai indiqué le côté historique de ce petit volume, ce qui sert à expliquer le caractère d’un prince que l’histoire ne peut éviter. […] Un charmant portrait gravé, joint au volume, nous donne l’idée de cette beauté fine au col long et mince et qui appellerait le pinceau d’un Hamilton.