Mais il y a des Whistler, du violet et argent de sa Mer profonde au brun et or du Portrait de Lady E… — La vieille Dame Hongroise, parchemin de bois vivant de Rippl-Ronai ; — des Aman-Jean : sa Béatrice surtout et le portrait de M.
On m’apportait, il y a peu d’années, en Italie, une de ces œuvres de colère légitime qui stigmatisent eu vers terribles des noms d’hommes vivants et qui font saigner éternellement les coups de verge ou les coups de poignard de la plume.
… Quand tes filets pliés Dégouttent d’eau de mer sur ton bras, où les colle L’écume du récif qui te blanchit les piés ; Ou bien quand tes cheveux, que la lame épouvante, Battant ta maigre épaule, aiment à s’y jouer Avec le flot qui monte, avec la mer qui vente, Et que, tes bras levés, comme une urne vivante, Tes deux mains à ton front veulent les renouer !
Valéry vient de montrer en quoi la guerre de 1914-1918 est le symptôme d’une crise de l’esprit, qu’elle aggrave considérablement. « Personne ne peut dire ce qui demain sera mort ou vivant en littérature, en philosophie, en esthétique.
Fait-on de la chair vivante, animée, sans glacis et sans transparents ?
J’avais, sans doute, une très glorieuse idée de moi-même et de ma supériorité, car je me revois toujours, portée par les chers bras, que je ne quittais guère, et dominant tout, du haut de ce piédestal vivant, non pas seulement parce que j’étais plus haut, mais parce que je dominais. […] Ce commandant Gruau, vivant là, avec sa femme et ses enfants, était un ami de M. […] … Ma première pensée fut celle-ci : « Il ne grondera plus », mais je ne pouvais pas me l’imaginer mort, je le voyais au contraire, bien vivant, et plus réellement qu’à l’ordinaire.