Ne me laisse pas implorer en vain : je ne t’ai jamais vu de ma vie. […] Ce discours est aussi plein de sagesse que la moelle des Proverbes de Salomon ; c’est l’éloge de la vie rustique opposée aux hasards de la vie agitée et ambitieuse des habitants des villes. […] Il était dans toute la jeunesse et dans toute l’avant-gloire de sa vie. […] Ce coup d’œil décida de la vie entière de Goethe. […] Ne rien perdre de la vie, c’était sa sagesse.

“Rien, dit-il, ne rappelait en elle, à cette époque déjà un peu avancée de sa vie, ni la reine d’un empire, ni la reine d’un cœur. […] Il est heureux, il a fini de voir tant de malheurs ; sa gloire va augmenter : moi seule, je l’ai perdu, il faisait le bonheur de ma vie. […] La mort serait pour moi un véritable bonheur ; je déteste la vie, le monde, et tout ce qui s’y fait et s’y voit. […] Il était né vieux ; toute sa vie est d’un vieillard. […] La monarchie française continue à s’écrouler et menace leur fortune et leur vie.

La comédie, qui, chez les Grecs, naquit des vendanges, fleurit encore dans les époques de vie large et facile. […] Il y a des époques plus agricoles que d’autres dans la vie d’une nation. […] L’idylle à son tour réagit sur la vie réelle. […] Par des hommes nés à l’île de la Réunion, à l’île de France, ou conduits là-bas par les hasards d’une vie aventureuse. […] Ceux dont la vie est à l’abri des soucis d’argent forment une catégorie qui a des mérites et des défauts particuliers.

« La vie, ô amour, qui sauvera la vie ? […] L’amour a été l’unique affaire de sa vie. […] Le jeune Musset bondissait vers la vie. […] Et il occupa sa vie désenchantée à travailler. […] Un peu d’aventure, dans votre vie morne !

La vie consciente de l’âme a ses racines dans la vie inconsciente du corps. […] À tout le moins la vie serait-elle indifférente. […] La vie vaut-elle dès lors la peine d’être vécue ? […] Elle ne fait que répéter notre vie passée. […] La vie animale n’est qu’une suite d’instincts.

Il aime la vie simple, non la vie secrète. […] Et il a simplifié sa vie, pareillement. […] Ils étaient le pays de la vie, où s’exaltait la vie jusqu’à son paroxysme, la mort. […] La vie et la mort ont coïncidé. […] L’ouvrier gagne de mieux en mieux sa vie.