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544. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préfaces de « Han d’Islande » (1823-1833) — Préface de janvier 1823 »

S’étant imaginé qu’une composition en quatre volumes valait la peine d’être méditée, il a perdu son temps à chercher une idée fondamentale, à la développer bien ou mal dans un plan bon ou mauvais, à disposer des scènes, à combiner des effets, à étudier des mœurs de son mieux ; en un mot, il a pris son ouvrage au sérieux.

545. (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Roslin  » pp. 149-150

Ce Salon-ci n’est point du tout comme les précédents ; il n’y a presque pas un tableau qui ne vaille un mot d’éloge ou de critique.

546. (1880) Études critiques sur l’histoire de la littérature française. Première série pp. 1-336

La chose en vaudrait cependant la peine, car, sur les registres de la municipalité de Dijon, M.  […] L’auteur d’Œdipe entre en lice, et fait bruyamment valoir ses titres à l’héritage vacant. […] Car ce grand homme était un homme d’argent, très soigneux de ses intérêts, très habile à les défendre, et même âpre à les faire valoir. […] Si le Poème de Fontenoy ne vaut rien, la charge de gentilhomme ordinaire ne valait pas moins de soixante mille livres du temps192, et nous savons que, indépendamment de tant de menus suffrages attachés par l’étiquette et les mœurs à toute charge de cour, Voltaire ne méprisait pas l’argent. […] Elle vaut la peine d’être connue.

547. (1901) Figures et caractères

Il vaut moins et mieux, car il renseigne sur l’état d’esprit qui régnait parmi les proches du grand homme. […] La richesse de l’image vaut le nombre de la langue. […] Ses poèmes valaient-ils ceux d’Algernon Swinburne ? […] La singularité des événements y vaut l’intensité des caractères. […] La vie au sortir d’ici va vous persuader de toutes ses voix fausses qu’elle seule vaut qu’on vive.

548. (1929) Amiel ou la part du rêve

Ses articles de la Bibliothèque universelle lui valaient de la considération. […] Mais la guerre en ce point vaut mieux que la paix. […] Ce témoignage en vaut un autre. […] Ce monde en vaut un autre, si un autre le vaut. * Il en vaut un autre.

549. (1823) Racine et Shakspeare « Préface » pp. 5-7

Enfin, et c’est ce qui lui vaudra l’immortalité, il s’aperçut que le genre niais de l’ancienne école française ne convenait plus au goût sévère d’un peuple chez, qui commençait à se développer la soif des actions énergiques.

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