« Deuxième conclusion : Ce que l’on appelle valeur Est une espèce de folie ; La vertu véritable est la poltronnerie, Qui nous fait éviter la mort et la douleur.
S’il confie la rencontre d’un petit affamé, à telle halle, offrant, en l’éventaire de ses deux bras, un chou et une salade, qu’il vienne à dire : « Sans nul doute pour retenir ses mains et les empêcher de dérober », pas un interlocuteur ne descendra à douter de la valeur de cette évocatrice hypothèse, si monstrueusement improbable.
Cette circonstance, que l’on ne trouve que dans Jean, est la plus forte preuve de la valeur historique du quatrième évangile.
Elle avait au plus haut degré non cet esprit qui songe à briller pour lui-même, mais celui qui sent et met en valeur l’esprit des autres.
Ce sont de ces corrections d’amateur qu’il faut noter en marge de son exemplaire, et qui n’ôtent en rien leur valeur à des travaux patients et consciencieux.
L’idée du moi un et simple, en effet, indépendamment de sa valeur objective, offre elle-même une unité subjective, une simplicité idéale : elle est l’équivalent d’un centre indivisible pour la vue.