… « Il n’y a un véritable ordre que quand on ne peut en déplacer aucune partie sans affaiblir, sans obscurcir, sans déranger le tout…… « Tout auteur qui ne donne point cet ordre à son discours ne possède pas assez sa matière ; il n’a qu’un goût imparfait et qu’un demi-génie.
Le journal est le véritable héritier de la puissance des salons, pour la direction du goût littéraire.
quels maîtres coups de corne administrés au goût, à la raison, au sens véritable des choses !
On assista alors à une véritable levée de plumes, à un pullulement agressif de journaux et de revues dont la nomenclature composerait un volume.
Un photographe célèbre édite et met en circulation un album que l’on s’arrache et où figurent in naturalibus nos lutteurs en renom, soufflés de graisse, véritables mastodontes, chaos de chairs informes, aux mamelles de nourrice et gratifiés pour la plupart de faces bestiales, dont le seul intérêt est de nous démontrer que la culture physique ne suffit point pour donner à ses adeptes le profil d’un Apollon.
La mort du grand roi est le fait décisif qui se dresse, comme une véritable borne, sur la route parcourue par le temps et qui nous permet de dire : Ici un monde finit et un autre commence.