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1151. (1896) La vie et les livres. Troisième série pp. 1-336

Ainsi l’idylle s’achève en tragédie.

1152. (1892) Portraits d’écrivains. Première série pp. -328

Mais la tragédie qui éclate dans ce cadre d’idylle a plus encore une saveur locale. […] Mais la magicienne qui est au service de Weiss, a donné un coup de sa baguette : et voici qu’au lieu du faible scénario de Scribe, ce qu’entend Weiss, c’est tout à la fois une tragédie, une comédie, un drame.

1153. (1855) Louis David, son école et son temps. Souvenirs pp. -447

Les traductions de Shakespeare étaient lues avec une curiosité bienveillante, et déjà on applaudissait aux efforts de Népomucène Lemercier, dont la tragédie d’Agamemnon paraissait être alors une innovation heureuse et propre à favoriser la régénération du théâtre et des lettres en France. […] Jusque-là, les études ne furent interrompues que par les repos du modèle, par un déjeuner délicat que l’on apportait vers onze heures, et les conversations que provoquait Mme de Noailles sur le Théâtre-Français, sur les nouvelles tragédies que l’on attendait de N.

1154. (1885) Les étapes d’un naturaliste : impressions et critiques pp. -302

Tandis que l’Ilustracion, à laquelle j’emprunte ces dernières citations, paraît à Madrid, l’Ilustracio, revue catalane, tient le public de Barcelone au courant de tous les faits nouveaux et initie le lecteur, éloigné des rives du Llobregat, au mouvement littéraire dont la publication presque simultanée des Tragédies de Victor Balaguer et de l’Atlantide de Jacinto Verdaguer, a consacré le rapide et extraordinaire développement. […] Le triomphe venu, et avec lui, William Raynes, embelli d’un titre de lord, — ce retour est nécessaire, ne fût-ce que pour nous donner l’inévitable nuit d’amour qui, dans nos romans contemporains, remplace uniformément le songe de nos tragédies d’autrefois et sert, au moins, à émêcher nos petits collégiens de seconde et de rhétorique, — les deux venus à la fois, le pauvre Blancheron prévenu assez crûment de son remplacement dans les bonnes grâces de la Faustin, se tue tout bêtement.

1155. (1910) Propos littéraires. Cinquième série

Ce valet de tragédie est, en tout cas, bien intéressant, et, s’il fut ce que M. 

1156. (1886) Le naturalisme

Il parcourt Paris dans toutes les directions, en scrutant tout avec ses yeux de myope qui concentrent la lumière, et en observant chacune des scènes variées et curieuses qui se succèdent dans la vie de la grande capitale où il ne manque pas de comédies, où les drames ne sont pas rares, où la tragédie se dresse parfois, le poignard à la main, sur la trame vulgaire en apparence des évènements.

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