II Le livre de Léon Feugère sur Henri Estienne nous conduit tout naturellement à signaler le volume qu’Ambroise-Firmin Didot a fait paraître sous le trop modeste titre d’Essai sur la Typographie.
J’espère qu’on me saura gré de ma modération, car, descendant directement de l’un de ces princes, et peut-être de la branche aînée, que sais-je si, par la vérification des titres, je ne me trouverais pas le roi légitime du genre humain ?
Titre singulier.
Les Récits de la Luçotte — tout simplement — suffisaient comme titre, et on évitait de faire l’homme sur la première page de son livre.
On veut qu’il y ait des rangs, même après la mort, et que les titres des grands passent, pour ainsi dire, à leurs réputations.
C’est en 1762 que, sous le titre de Balance Egale et sous une forme humoristique, il a donné cette manière de consultation. […] Car tout ce qui dans le peuple est organisé est qualifié « aristocratique », quoique ce ne soit pas du tout une aristocratie, et à ce titre est ennemi du peuple et ne doit pas être compté dans le peuple. […] C’est dans le chapitre qui a pour titre une formule singulièrement instructive par elle seule : « Qu’il ne faut point régler par les principes du droit politique les choses qui dépendent des principes du droit civil. […] Voltaire, à ce titre, le déteste furieusement. […] Ne vous trompez point sur deux titres du Traité de la Tolérance : Extrême tolérance des Juifs (chap.