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2501. (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « Maurice comte de Saxe et Marie-Joséphine de Saxe dauphine de France. (Suite et fin.) »

Il est tel historien, assurément, qui ne manquerait pas d’en tirer des conséquences outrageuses et extravagantes : chez le comte Vitzthum, elles ne sont qu’à l’état de vignettes historiques, et un peintre y prendrait deux ou trois traits pour un tableau exact de mœurs.

2502. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Madame Desbordes-Valmore. » p. 232

B…, content de s’agiter sans tirer à conséquence.

2503. (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Lamartine — Lamartine »

Alfred de Vigny, resta, jusqu’à ces derniers temps, inaperçu et, disons-le, méconnu de Lamartine, qui n’avait rien, il est vrai, à tirer de ce mode d’inspiration antique, et dont le style était déjà né de lui-même à la source de ses pensées.

2504. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « M. J. J. AMPÈRE. » pp. 358-386

On pourrait aller plus loin que les accidents, et dire : Si une certaine folie n’est pas étrangère à l’homme, même à l’homme pris en masse, en vain on tirerait argument, pour la vérité nécessaire d’une idée, de son triomphe en de certains siècles.

2505. (1869) Cours familier de littérature. XXVIII « CLXVIIIe entretien. Fénelon, (suite) »

C’était la justification, par les textes tirés des livres et des opinions même des oracles de l’Église, de l’amour désintéressé de Dieu.

2506. (1892) Boileau « Chapitre II. La poésie de Boileau » pp. 44-72

Césures déplacées, enjambements alors hardis, tous ces moyens d’assouplir le vers et d’en tirer des effets variés lui sont connus, et il les emploie.

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