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343. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre II. — De la poésie comique. Pensées d’un humoriste ou Mosaïque extraite de la Poétique de Jean-Paul » pp. 97-110

. — Le sublime ambitionne les termes généraux qui ont de la noblesse : le comique doit donc rechercher les expressions individuelles à l’adresse des sens139. […] La réalité a pour symbole une planche partagée en cases sur laquelle le poète peut jouer le vulgaire jeu de dames ou le royal jeu d’échecs, selon qu’il ne possède que de simples morceaux de bois rond, ou des figures artistement taillées164 — Le besoin d’effacer en soi toute originalité pour se faire une surface unie a donné aux Français pour les termes généraux un goût contraire au vrai style comique.

344. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « VIII »

on nous montre le poing. « Non, affirme-t-on en propres termes, quoi qu’en pense notre critique, les œuvres banales n’ont pas de succès. » Il faut ignorer bien des choses ou être plus distrait que Ménalque, pour mettre en doute une vérité si authentique, qui est tout simplement un fait d’histoire. […] Il n’est satisfait que lorsqu’il l’a atteinte…29 » Plus crûment, avons-nous dit autre chose, et peut-on, en termes plus polis, mieux dénoncer la banalité de Télémaque ?‌

345. (1757) Réflexions sur le goût

Mais il n’ignore pas en même temps que cette discussion doit avoir un terme. […] Notre philosophe croira n’avoir rien ôté à un ouvrage de poésie, en conservant tous les termes et en les transposant pour détruire la mesure ; et il attribuera à un préjugé dont il est esclave lui-même sans le vouloir, l’espèce de langueur que l’ouvrage lui paraît avoir contractée par ce nouvel état.

346. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « Gogol. » pp. 367-380

Il paraîtrait que c’est une loi : les réalistes, comme les ours, viendraient mieux et seraient plus forts vers les pôles… Cette locution d’Ames mortes, qu’on pense tout d’abord être une manière de dire poétique et funèbre, toute pleine d’attirants mystères, n’est qu’un terme usuel en Russie, un terme vulgaire et légal… Vous saurez tout à l’heure ce que c’est… M. 

347. (1880) Une maladie morale : le mal du siècle pp. 7-419

» Ses vœux furent entendus : le 9 novembre 1804, fut le terme de ses douleurs. […] Il entrevoit sa mort prochaine ; elle lui sourit comme le terme de son malheur. […] Cependant le terme fixé par son père est arrivé. […] « Avant que le premier terme de sa vie fut passé, Harold éprouva le goût de la satiété. […] Il voulut un jour pousser l’assimilation jusqu’à son dernier terme, et essayer un amour ossianique.

348. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 208-209

Les vers de son Poëme sont hérissés de termes techniques qui en rendent la lecture pénible.

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