/ 2296
461. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » pp. 142-143

L’imitation de la Nature, voilà le but essentiel auquel il faut tendre.

462. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » p. 61

Les Avis d’une mere à son fils, ceux d’une mere à sa fille, sont d’une instruction saine, tendre & remplie d’aménité.

463. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — B — Beauvoir, Roger de (1809-1866) »

Jules Barbey d’Aurevilly La Muse de M. de Beauvoir a plus d’un rapport avec une célèbre courtisane, restée sincère et tendre, malgré les dissipations de sa vie.

464. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — C — Cantacuzène, Charles-Adolphe (1874-1949) »

Madame Luigi Botha, la reine Marguerite d’Italie, Georges-Ernest Boulenger et Madame Bonnemain, des personnes historiques ou à peu près et de petites mortes anonymes qui furent de tendres amoureuses, Edmond de Goncourt et Georges Rodenbach sont évoqués dans ces Sonnets en petit deuil, qui sont presque tous un peu des madrigaux macabres.

465. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — J — Jaubert, Ernest (1856-1942) »

Jaubert arrivera à formuler, débarrassé de la lourdeur présente de son style, des sensations d’un art simple et tendre.

466. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 509

Son élocution en général est simple, noble, pure, & vigoureuse : si elle étoit moins inégale ; si ses pensées étoient plus justes & plus profondes ; si son coloris répondoit toujours à la vivacité de ses sentimens, on pourroit le proposer aux Orateurs Chrétiens comme un modele ; mais il n’a ni l’éloquence convaincante de Bourdaloue, ni l’éloquence persuasive de Massillon, ni l’éloquence tendre & onctueuse de Cheminais, ni l’éloquence brillante & animée du P.

/ 2296