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1716. (1868) Cours familier de littérature. XXVI « CLIVe entretien. Madame de Staël. Suite »

Ainsi, lorsque jadis Proserpine fut enlevée dans les bras de Pluton, loin des prairies de la Sicile, enfantine dans ses plaintes, elle pleurait pour les fleurs qui s’échappaient de son sein. » La seconde est une ode dialoguée entre l’aigle et le cygne. « La pièce de vers suivante doit perdre encore plus à la traduction que le sonnet, dit-elle » ; elle est intitulée : Mélodies de la vie.

1717. (1834) Des destinées de la poésie pp. 4-75

Il nous fit entrer dans une petite cour intérieure pavée aussi d’éclats de statue, de morceaux de mosaïque, et de vases antiques, et nous livrant sa maison, c’est-à-dire deux petites chambres basses sans meubles et sans portes, il se retira et nous laissa, suivant la coutume orientale, maîtres absolus de sa demeure.

1718. (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre II. La première génération des grands classiques — Chapitre III. Pascal »

Ainsi furent suspendues pour trois quarts de siècle les tendances qui composèrent l’esprit de l’âge suivant.

1719. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — H — Hugo, Victor (1802-1885) »

Les soixante-treize morceaux suivants sont empruntés à la même source.

1720. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre premier »

Il se piqua au jeu, et l’année suivante il revint à la charge, assisté d’un champion déjà plus que blessé, son Clovis réimprimé.

1721. (1914) Note sur M. Bergson et la philosophie bergsonienne pp. 13-101

Si j’étais un grand philosophe je n’aurais peut-être pas le droit de raconter l’histoire suivante.

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