Le succès fut d’autant plus grand que toutes les préparations antérieures le secondèrent. […] Ce rêveur connut le bruit importun d’une gloire de dramaturge à succès, de pamphlétaire ou de romancier à gros tirage, tout ce qui éclate aux gestes d’un Dumas, d’un Drumont et d’un Zola, la parodie, la caricature et le quolibet. […] On jouait avec succès ses pièces sur plusieurs théâtres et, à la première représentation de l’une d’elles, il vint sur la scène saluer le public, exhibant à son frac le premier bouquet d’œillets verts qu’on eût porté. […] C’est au prodigieux succès de son recueil, The Seven Seas, les Sept Mers, qu’il doit cette situation nouvelle. […] Si, en art, le succès est une justification, l’extraordinaire vogue des Zola, des Daudet, des Maupassant n’aura rien à redouter de l’avenir.

Au reste, comme pour tous les succès un peu populaires en ce genre, les choses ont vécu plus que les noms.

Quelquefois elles essaient de se parer encore des apparences de cette innocence qui leur a valu tant de succès.

Dans les derniers temps de son enseignement, Charles Labitte avait fini par triompher d’une certaine timidité qui lui restait en présence du public, et le succès, de plus en plus sensible, qu’il recueillait autour de lui, l’excitait dans cette voie où le conviaient d’ailleurs tant de sérieux attraits.

L’avènement et le succès disproportionné du Roman de la Rose, quelque indulgence et quelque estime qu’on ait pour certains détails énergiques ou gracieux de cette œuvre bizarre, marquent une déviation, une fausse route, malheureusement décisive, dans le courant de l’imagination poétique.

Voilà, mot à mot, les paroles du père Hilario ; mais j’ai bien vu à son accent et à son visage qu’il avait plus de confiance que de doute sur le succès de sa confidence à l’évêque et à ses supérieurs, et que mon désir était déjà ratifié dans sa pensée.