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959. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Alfred de Musset » pp. 364-375

Il a souffert ; que ceux qui l’ont aimé et qui l’aimeront toujours pour ses vers ne l’oublient pas.

960. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Histoire de la littérature française, par M. D. Nisard. Tome iv. » pp. 207-218

Rousseau est un révolutionnaire : les sociétés futures selon qu'elles croiront en définitive avoir plus gagné que perdu ou souffert avec lui et par lui, lui seront plus ou moins reconnaissantes.

961. (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Waterloo, par M. Thiers (suite) »

J’ai souffert, je l’avoue, de cette discussion dernière si prolongée au sujet de ce cri suprême.

962. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « FLÉCHIER (Mémoires sur les Grands-Jours tenus à Clermont en 1665-1666, publiés par M. Gonod, bibliothécaire de la ville de Clermont.) » pp. 104-118

Il convient d’écarter au préalable cette comparaison écrasante avec Bossuet, dont Fléchier a trop souffert.

963. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « M. Victor Vousin. Cours de l’histoire de la philosophie moderne, 5 vol. ix-18. »

En revoyant cette première partie du Cours ainsi rajustée et heureusement rajeunie, on pouvait se demander si les leçons de 1828-1829, que nous possédons saisies et fixées par la sténographie, mais saisies au vol et dans toute la rapidité de l’improvisation, si ces leçons, jusqu’ici très-goûtées et plus que suffisantes, n’allaient pas souffrir quelque peu du voisinage et réclamer de l’auteur une retouche légère à leur tour.

964. (1875) Premiers lundis. Tome III « M. Troplong : De la chute de la République romaine »

Il l’avait mérité en ne voulant souffrir aucun égal, etc. » Et dans une sorte d’allocution éloquente dont chaque phrase commence ainsi par ces mots : « Il l’avait mérité », l’historien orateur déroule toute une énumération des griefs légitimes qu’on pouvait avoir contre César ; il y a plus de vingt-trois motifs, à les bien compter.

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