Mais ce qu’on n’a pas retrouvé, ni avant ni depuis, dans cette sincérité, ce qui fait vraiment Villon et lui étoile le front de sa Muse, c’est le pathétique poignant et charmant des larmes dans le rire et du rire dans les larmes, qui est aussi le pathétique de la nature au mois d’avril, quand il pleut et qu’il fait soleil. […] Il en ouvre le printemps, et il a de ces larmes de printemps dans lesquelles se mêlent les rayons d’un soleil frais comme une aurore.
Paul de Rémusat, qui a voulu grandir la mémoire de son père, sentiment honorable mais peu critique, pour que ce drame sortît du demi-jour des confidences et vint hardiment prendre rang d’œuvre littéraire au grand soleil, parfois cuisant, de la publicité. […] Paul de Rémusat ne le trouve tel, ce soleil-là !
Alors qu’il se dissimulait le plus, impossible de ne pas le voir comme le soleil et comme la République ! […] … Je tiens donc Victor Hugo pour l’auteur du livre : Mes premières années de Paris, d’abord par respect pour lui, et ensuite parce qu’il ne peut y avoir, dans notre ciel poétique, deux soleils de cette force : Hugo et Vacquerie ; nous serions cuits !
Et le soleil éclate et des fleurs s’écroulent en cascades bariolées et parfumées… les rythmes de M.
L’Histoire Comique des Etats & Empires de la Lune & du Soleil, prouvent combien il étoit capable de devenir grand Physicien, habile Critique & profond Moraliste, si la mort ne l’eût enlevé presque aussi-tôt qu’il se fut entiérement consacré aux Lettres.
Quel cas peut-on faire de ces Discoureurs énigmatiques, qui, semblables à Eole, n’assemblent que des nuages sur des objets qui auroient besoin de tous les rayons du soleil ?