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335. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « M. Antoine Campaux » pp. 301-314

Mais ce qu’on n’a pas retrouvé, ni avant ni depuis, dans cette sincérité, ce qui fait vraiment Villon et lui étoile le front de sa Muse, c’est le pathétique poignant et charmant des larmes dans le rire et du rire dans les larmes, qui est aussi le pathétique de la nature au mois d’avril, quand il pleut et qu’il fait soleil. […] Il en ouvre le printemps, et il a de ces larmes de printemps dans lesquelles se mêlent les rayons d’un soleil frais comme une aurore.

336. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « Ch. de Rémusat. Abélard, drame philosophique » pp. 237-250

Paul de Rémusat, qui a voulu grandir la mémoire de son père, sentiment honorable mais peu critique, pour que ce drame sortît du demi-jour des confidences et vint hardiment prendre rang d’œuvre littéraire au grand soleil, parfois cuisant, de la publicité. […] Paul de Rémusat ne le trouve tel, ce soleil-là !

337. (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Auguste Vacquerie  »

Alors qu’il se dissimulait le plus, impossible de ne pas le voir comme le soleil et comme la République ! […] … Je tiens donc Victor Hugo pour l’auteur du livre : Mes premières années de Paris, d’abord par respect pour lui, et ensuite parce qu’il ne peut y avoir, dans notre ciel poétique, deux soleils de cette force : Hugo et Vacquerie ; nous serions cuits !

338. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Degron, Henri (18..-19..) »

Et le soleil éclate et des fleurs s’écroulent en cascades bariolées et parfumées… les rythmes de M. 

339. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 274

L’Histoire Comique des Etats & Empires de la Lune & du Soleil, prouvent combien il étoit capable de devenir grand Physicien, habile Critique & profond Moraliste, si la mort ne l’eût enlevé presque aussi-tôt qu’il se fut entiérement consacré aux Lettres.

340. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » p. 22

Quel cas peut-on faire de ces Discoureurs énigmatiques, qui, semblables à Eole, n’assemblent que des nuages sur des objets qui auroient besoin de tous les rayons du soleil ?

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