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1404. (1869) Cours familier de littérature. XXVII « CLVIIIe Entretien. Montesquieu »

Le soir, la reine me dit : « Je sais que vous nous avez défendu contre M. de La Boine. — Madame, je n’ai pu m’imaginer qu’un pays où vous régnez ne fût pas un grand pays. » Ce sont là de ces mots qui posent un homme dans une cour.

1405. (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre cinquième. De l’influence de certaines institutions sur le perfectionnement de l’esprit français et sur la langue. »

Ils s’y réunissaient chaque semaine, dans l’après-midi, à cause du peu de sûreté des rues le soir.

1406. (1911) La morale de l’ironie « Chapitre II. Le rôle de la morale » pp. 28-80

Ma liberté d’aller tranquillement le soir dans la rue ne vaut que par la répression de la liberté de ceux qui seraient tentés de fouiller mes poches.

1407. (1896) Les origines du romantisme : étude critique sur la période révolutionnaire pp. 577-607

Le soir, lassé par de vaines et humiliantes démarches, « il s’arrêtait sur les ponts pour voir se coucher le soleil et il songeait que sous tant de toits, il n’avait pas un ami », et pas un protecteur.

1408. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — Chapitre III. La Révolution. »

Quand le docteur Sacheverell est mis en jugement, les garçons bouchers, les boueurs, les balayeurs de cheminée, les marchands de pommes, les filles de joie et toute la canaille, s’imaginant que l’Église est en danger, l’accompagnent avec des hurlements de colère et d’enthousiasme, et le soir se mettent à brûler et à piller les temples des dissidents. […] George Ier tient sa femme en prison pendant trente-deux ans, et s’enivre le soir chez deux laiderons, ses maîtresses.

1409. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Le maréchal de Saint-Arnaud. Ses lettres publiées par sa famille, et autres lettres inédites » pp. 412-452

Le soir, je suis allé avec Pajol voir Polyeucte et Japhet.

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