Ruiné dans toutes ses espérances, c’est encore une de ces existences dissoutes dans le mouvement formidable de ce qu’on appelle la civilisation, qui pour beaucoup ressemble au chaos. » « (6 septembre 1854)… Le malheur finit par semer l’épouvante même au sein des familles que le bonheur aurait unies.
Le bulletin du 8 mars prenait acte de la victoire en ces termes : « Comme il était aisé de le prévoir, la seconde représentation du Cid d’Andalousie n’a point ressemblé à la première.
Le duc de La Rochefoucauld étoit philosophe et n’étoit pas peintre. » Quelqu’un a dit en ce même sens : « Chez La Bruyère, la pensée ressemble souvent à une femme plutôt bien mise que belle : elle a moins de corps que de tournure. » Mais, sans prétendre diminuer du tout La Bruyère, on a droit de trouver dans La Rochefoucauld un angle d’observation plus ouvert, un coup d’œil plus à fond.
On vit dans le monde à côté d’eux ; on goûte leur esprit ; on joue avec le sien en leur présence ; on est à cent lieues de penser à l’homme de lettres, à la femme de lettres, à l’auteur, et en effet rien n’y ressemble moins.
Toutes ces paroles ne sont que rigoureusement justes appliquées à Charles Labitte, et celles-ci le sont encore241, que je détourne à peine : « Fidèle à la tradition, reconnaissant des aînés et même des maîtres (pour mieux le devenir à son tour), qu’il ressemblait peu à nos autres jeunes gens !
Il y eut groupe, il y eut action et influence visible autour de lui, et il brille dans le cercle de la royale et indulgente Marguerite, au milieu d’émules et de disciples qui lui ressemblent, les Bonaventure Des Périers, les Brodeau.