Si l’on ne peut trouver deux sociétés qui ne diffèrent ou qui ne se ressemblent qu’en un point, du moins, on peut constater que deux faits ou s’accompagnent ou s’excluent très généralement.
Voilà, pourrait-on dire aux jeunes littérateurs, le sort qui vous attend si vous ressemblez à ces grands hommes.
M. l’abbé Cazalès, qui a été un lettré très distingué avant d’être un prêtre, a secoué de sa soutane l’escarbot littéraire et les petites crottes de prétention qu’il laisse souvent après lui, M. l’abbé Cazalès, en traduisant les Œuvres de la sœur Emmerich, s’il est permis de dire le mot « œuvres » de ces choses qui sont d’autant plus belles qu’elles ressemblent moins à des livres, M.
Mais ni la fatuité nonchalante, ni la superficialité sans gêne d’une Critique qui n’aime que les livres bientôt lus ou aisés à pénétrer, ne suffisent aujourd’hui pour expliquer l’étrange silence, très injuste selon moi, qui, relativement à son importance, enveloppe, pour le moment, un livre fait, de sujet seul, pour retentir, et dont le titre pour les partis ressemble à une provocation d’amour ou de haine.
Pas plus que Renan, il ne ressemble ni ne se rattache à Comte.
III Son système ressemble à son esprit ; il est plutôt clair et ingénieux que profond ou nouveau.