Remarquez bien qu’il ne s’agit plus ici d’une simple composition littéraire où le lecteur, placé dans une sphère convenue d’idées et de sentiments, se prête à toutes les illusions qui lui sont prescrites, et s’émeut vivement d’une création dont il a adopté d’avance toutes les données.
Pour cela, il suffit de remarquer que la proposition générale n’est point la véritable preuve de la proposition particulière. […] C’est le procédé par lequel nous concluons que ce qui est vrai de certains individus d’une classe est vrai de toute la classe, ou que ce qui est vrai en certains temps, sera vrai en tout temps, les circonstances étant pareilles1485. » C’est le raisonnement par lequel, ayant remarqué que Pierre, Jean et un nombre plus ou moins grand d’hommes sont morts, nous concluons que tout homme mourra. […] Nous remarquons que cette pierre est tombée, que ce charbon rouge nous a brûlés, que cet homme est mort, et nous n’avons d’autre ressource pour induire que l’addition et la comparaison de ces petits faits isolés et momentanés. […] Dans la première, on remarquait seulement que le contraire de l’axiome est inconcevable ; dans la seconde, on découvre en plus que le contraire de l’axiome est contradictoire. […] Nous remarquons que toutes les variations de l’un correspondent à certaines variations de l’autre ; que toutes les oscillations du pendule correspondent aux diverses positions de la terre ; que toutes les circonstances des marées correspondent aux diverses positions de la lune.
Pour cela, il suffit de remarquer que la proposition générale n’est point la véritable preuve de la proposition particulière. […] C’est le procédé par lequel nous concluons que ce qui est vrai de certains individus d’une classe est vrai de toute la classe, ou que ce qui est vrai en certains temps, sera vrai en tout temps, les circonstances étant pareilles. » 14 C’est le raisonnement par lequel, ayant remarqué que Pierre, Jean et un nombre plus ou moins grand d’hommes sont morts, nous concluons que tout homme mourra. […] Nous remarquons que cette pierre est tombée, que ce charbon rouge nous a brûlés, que cet homme est mort, et nous n’avons d’autre ressource pour induire que l’addition et la comparaison de ces petits faits isolés et momentanés. […] Dans la première, on remarquait seulement que le contraire de l’axiome est inconcevable ; dans la seconde, on découvre en plus que le contraire de l’axiome est contradictoire. […] Nous remarquons que toutes les variations de l’un correspondent à certaines variations de l’autre ; que toutes les oscillations du pendule correspondent aux diverses positions de la terre ; que toutes les circonstances des marées correspondent aux positions de la lune.
Là il y avait foule, et notre aimable compatriote me fit remarquer les nuances qui distinguaient ces Messieurs, et que du reste j’appréciai sur-le-champ. […] Je remarquai quelques-uns de ces messieurs qui ne quittèrent ni le foyer, ni leur conversation de toute la soirée. […] J’ai remarqué que toutes les célébrités de la littérature française avaient ainsi leur petite cour de séides et de Trissotins. […] Mlle Ida eut le principal rôle de ce drame, et s’y fit remarquer pour la première fois, d’obscure qu’elle avait été jusque-là au théâtre. […] (Vous avez dû remarquer, mon cher Monsieur, que la plus grande partie des écrivains français les plus en vogue, flottent entre 30 et 40 ans).
On raconte qu’un jour de grande fête, au sortir du dîner, le prélat étant à jouer avec des dames, après que le jeu eut duré assez longtemps, quelqu’un fit remarquer que c’en était assez pour un jour de grande fête, et qu’il fallait donner quelque chose à l’édification.
Nous avons cru remarquer dans le discours de M.