Et remarquez que toutes les qualités de la race dont parle M. […] Remarquez que les œuvres léguées par les siècles sont toutes relativement courtes. […] Remarquez qu’il reste un brave homme. […] Remarquez que M. […] Remarquez pour le succès le même dédain que M.
C’est uniquement de cette passion que j’ai voulu parler ; j’ai rejeté toute autre manière de considérer l’amour ; j’ai recueilli, pour composer les chapitres précédents, ce que j’ai remarqué dans l’histoire ou dans le monde ; en écrivant celui-ci, je me suis laissée aller à mes seules impressions ; j’ai rêvé plutôt qu’observé, que ceux qui se ressemblent se comprennent.
Jean Aicard, un poète s’il en fut et de la bonne école… Remarquons que tout le volume est dédié aux cigales si chères aux Provençaux… Il ne me leste plus qu’à engager le lecteur à lire avec recueillement ces poèmes dont chaque vers est ciselé à la façon antique ; il y a dans ce livre un parfum de poésie grecque et une pureté de forme et de langage qui rappellent le charme des bonnes œuvres d’André Chénier.
Il ne sera pas inutile de remarquer que M.
On pourra remarquer, dans les idées qui y sont avancées, une progression de liberté qui n’est ni sans signification ni sans enseignement.
Ces écrivains, sans négliger d’explorer les veines les plus diverses de la mine imaginative, ont tenté, dans le Fardeau, publié récemment et longtemps après le Bilatéral, une étude inquiète et poignante de la pauvreté honteuse, étude dont l’inspiration se relie à celle d’un de leurs romans les plus remarqués : l’Impérieuse Bonté. […] III Si l’on envisage la production du roman dans la variété si abondante qu’elle a présentée au cours de ces dernières années, on aura vite fait de remarquer que la forme le plus volontiers choisie par les écrivains travaillés de tendances sociales a été le vaste tableau collectif, le roman de foules et d’ensembles. […] Henry Bordeaux, dans une série de récits attachants et de plus en plus remarqués, parmi lesquels nous citerons, principalement, le Pays natal, l’Honnête femme, la Peur de vivre, la Petite Mademoiselle, les Roquevillard et Les Yeux qui s’ouvrent, a montré comment un romancier sincère qui est aussi un artiste personnel peut, sans sacrifier rien de sa personnalité, s’inspirer heureusement du traditionalisme de M. […] Or, et le fait est curieux à remarquer, soit dans Mademoiselle Cloque, soit dans la Becquée, soit dans l’Enfant à la balustrade, l’amour n’apparaît plus ou, s’il intervient, il ne joue qu’un rôle très bref : il n’est jamais le principal élément d’émotion.