Encore, à la mort de Bonpland, Humboldt s’était considéré comme un ami qui prend congé pour un temps très court de son compagnon, et l’on raconte de lui des conversations qu’il tint dans de petites réunions d’amis, où il désignait, avec une sorte de pressentiment prophétique, l’année 1859 comme devant être la dernière de sa vie.
Et là il raconte sans détails superflus son histoire et celle de sa famille.
Bossuet n’a raconté l’histoire du protestantisme que pour en faire sortir cette démonstration : de là les lacunes de son histoire, et le mélange continuel de la discussion à la narration.
Il s’était marié en 1822 ; il partit en 1832 avec sa femme et sa fille pour un Voyage en Orient (Grèce, Syrie, Palestine, Liban) qu’il a plus ou moins poétiquement raconté.
Les mémoires de madame Périer racontent ainsi l’origine des Provinciales : « Ce fut M.
Le président d’une assemblée législative, raconte-t-on, voyant un de ses amis politiques attaquer violemment à la tribune ses adversaires, disait tout haut : « Je vais être obligé d’appliquer à l’orateur les sévérités du règlement », et murmurait tout bas : « Tape dessus, tu es en verve. » Il parlait d’une part en président, d’autre part en homme de parti.