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260. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » pp. 309-310

D’ailleurs, en avançant qu’on ne lit point ses Poésies, nous n’avons pas prétendu dire qu’on ne les a point lues, mais bien qu’on ne les lisoit plus.

261. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 525-526

Dans la Lettre d’un Théologien, qui nous a été adressée, & qui est généralement attribuée à M. le Marquis de Condorcet, on prétend que M.

262. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 530-531

C’est s’aveugler & dégrader son Siecle, que de prétendre à l’immortalité par une autre route que celle qui nous a été frayée par les Grands Hommes.

263. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « quelque temps après avoir parlé de casanova, et en abordant le livre des « pèlerins polonais » de mickiewicz. » pp. 512-524

Théophile Gautier adopte un procédé exclusif d’expression et qu’il s’y laisse conduire, je ne prétends pas qu’au sein de ce procédé même il n’ait aucune variété ; s’il est sinistre et horriblement funèbre dans la Comédie de la Mort, il fait preuve de grâce dans maint sonnet et mainte villanelle. […] En indiquant Fortunio qui vient de paraître, je ne prétends certes pas en donner l’analyse ni en parler longuement.

264. (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XXV. Mort de Jésus. »

Le Talmud, qui présente la condamnation de Jésus comme toute religieuse, prétend, en effet, qu’il fut lapidé, ou du moins, qu’après avoir été pendu, il fut lapidé, comme cela arrivait souvent (Mischna, Sanhédrin, VI, 4). […] La grande considération dont jouit Marie dans l’église naissante le porta sans doute à prétendre que Jésus, dont il voulait se donner pour le disciple favori, lui avait recommandé en mourant ce qu’il avait de plus cher.

265. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » pp. 272-292

Quelques-uns de nos Littérateurs modernes ont prétendu & soutiennent encore, que le Télémaque n’est point un Poëme. […] Cette maxime, que nous ne prétendons pas étendre à tous les genres, mais qui, bien approfondie, suffit seule pour conserver la couronne poétique à Fénélon, se trouve développée dans les Ouvrages de cet Ecrivain, par des raisons aussi lumineuses que solides.

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