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1021. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Si j’avais une fille à marier ! » pp. 215-228

Matérialiste autant qu’il puisse l’être de doctrine et d’inspiration première, Weill, qui n’est pas un philosophe à une philosophie, mais un philosophe à plusieurs, n’est pas seulement matérialiste par le fond réel de son livre ; il prétend être encore spiritualiste par l’intention et par le détail.

1022. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Hoffmann »

… Champfleury s’est beaucoup débattu pour répondre à ceux qui prétendent qu’Hoffmann n’a pas le sens humain, et, par une confusion que nous voulons bien croire sincère, le dévoué raisonneur a cité les lettres plus ou moins sentimentales de l’auteur allemand à ses amis, comme s’il s’agissait de la moralité de la vie et non pas de la nature du talent !

1023. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Byron »

Il prétendait fougueusement à tout ce qu’il n’avait pas, et il raconte lui-même dans ses Mémoires que s’il s’obstina à faire des vers, ce fut uniquement parce que la Revue d’Édimbourg avait nié qu’il pût jamais devenir un poète.

1024. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XIII. Pascal »

., avaient éclaté, et, sans prétendre les résumer, cette publication les étreignit tous, comme idées, en un bloc consistant et très ferme, pour le compte d’une édition spéciale, faite avec soin sur les textes confrontés et le rétablissement du sens de Pascal, si longtemps obscurci et mutilé !

1025. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XX. M. de Montalembert »

Probablement ce furent les émotions et les applaudissements sur place de la tribune qui empêchèrent, pendant vingt années, M. de Montalembert de publier son Saint Bernard et de prétendre à une gloire moins instantanée et plus sévère.

1026. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « MM. Delondre et Caro. Feuchtersleben et ses critiques. — L’Hygiène de l’âme » pp. 329-343

Caro et Delondre, l’a rajeunie, et c’est Henri Heine… Henri Heine a prétendu, ma foi !

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