/ 1745
1610. (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre quatrième »

Voilà en quels termes énergiques il se pose ce problème ; voilà l’être pour lequel il songe à chercher quelque chose de meilleur et de plus solide que trois ou quatre vérités de religion naturelle, et quelques inventions physiques au service des besoins du corps.

1611. (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre cinquième. De l’influence de certaines institutions sur le perfectionnement de l’esprit français et sur la langue. »

A ceux qui prétendaient qu’il n’en subsisterait rien après vingt-cinq ans, il répondait par ces belles paroles : « Je ne demeure pas d’accord que l’utilité de ces remarques soit bornée sur un si petit espace de temps, non seulement parce qu’il n’y a nulle proportion entre ce qui change et ce qui demeure dans le cours de vingt-cinq ou trente années, le changement n’arrivant pas à la millième partie de ce qui demeure ; mais à cause que je pose des principes qui n’auront pas moins de durée que notre langue et notre empire.

1612. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 mars 1886. »

Aux États-Unis, au contraire, la représentation des opéras de Wagner n’a jamais posé de problèmes particuliers.

1613. (1888) Préfaces et manifestes littéraires « Théâtre » pp. 83-168

— Vous me faites poser, me jeta mon ami en m’interrompant.

1614. (1896) Les origines du romantisme : étude critique sur la période révolutionnaire pp. 577-607

Mais victorieuse, elle fut si épouvantée de son œuvre, qu’elle voulut qu’on en perdît le souvenir : elle posa l’homme bourgeois avec ses passions, ses vices et ses vertus, comme le type immuable de l’espèce humaine passée, présente et future.

1615. (1856) Cours familier de littérature. I « Ier entretien » pp. 5-78

Je restai un instant stupéfait de surprise sur le seuil, ne sachant où poser le pied pour y entrer à la suite de mon guide.

/ 1745