. — Poésies dédiées à la jeunesse (1836). — Philosophie catholique de l’histoire (1839-1841). — Le Cloître de Villemartin, recueil de poèmes (1843). — Œuvres complètes, 4 vol. (1845). […] Ampère Le recueil de ses poésies offre des beautés vraies.
Frédéric Plessis, n’en cultivait pas moins la poésie sous une forme historique et savante. C’était la poésie d’études, pour ainsi parler.
. — Poésies (1886) […] — Raisons du moins fort (1889). — Poésies posthumes (1890).
Cosson a une Sœur qui s’est exercée avec quelques succès dans la Poésie légere & anacréontique. […] Nous ne dirons pas que dans celle qu’elle a composée sur l’Incendie de l’Hôtel-Dieu, elle ait atteint le sublime & l’énergie de ce genre de Poésie ; mais on ne peut méconnoître dans cette petite Production plusieurs traits de vivacité & de sentiment, préférables au jargon philosophique de la Voix du Peuple, Epître composée par un Académicien sur le même sujet.
Voltaire était le missionnaire de cette poésie et de cette philosophie chez les Allemands. […] C’est là qu’il partagea son temps, comme l’horloge partage les heures, entre des sociétés douces, des promenades philosophiques, des études variées et universelles, telles que la peinture, la chimie, la philosophie, la poésie, la prose. […] La poésie est descendue avec lui d’un degré du ciel : paix à sa cendre ! Il faudra bien que la poésie y remonte si elle ne veut pas salir sa robe dans la lie des ruisseaux où l’on s’efforce de l’entraîner depuis quelque temps. […] Je verrais dans un éternel crépuscule ce globe dont je n’entendrais pas le bruit à mes pieds. » Voici la poésie de l’infini devenue mélancolie lyrique ; elle dicte à Faust des vers dignes d’être répétés par l’écho des firmaments.
Depuis huit jours qu’il a pris gîte sous mon humble toit, il m’a enivré de poésie natale, mais tellement enivré que j’en trébuche en marchant, comme un buveur, et que j’ai senti le besoin de décharger mon cœur avec vous. […] Ô poésie d’un vrai poète ! […] Mais, si la composition pouvait être plus riche de combinaisons dramatiques, la poésie ne pouvait pas être plus neuve, plus pathétique, plus colorée, plus saisissante de détails. […] La grande poésie est de même race que la grande beauté : elle sort de la mer. […] Est-ce donc peu que le nécessaire, la paix, la poésie et l’amour ?