Malgré son nom qui rappelle les roses, Rhoïdis n’en est point une, placée dans les feuillets des livres et qui les parfume… Il n’est que le cloporte qui les ronge, et qui vit dans la feuille moisie… C’est, du reste, par amour idéal pour la Papesse Jeanne qu’il est devenu le cloporte des bibliothèques. […] Pour attirer à celui-ci, on a placé, à son frontispice, le portrait de la Papesse Jeanne, tiare en tête, avec son bâtard dans les bras ; et comme on l’a posée, elle a l’air de rappeler, avec affectation, une image sacrée… Intention lâchement sacrilège !
Ne soyez donc pas étonné que, dans les hymnes placés sous le nom d’Homère et, ce semble, d’une langue contemporaine ou rapprochée de celle de ses deux grands poëmes, le mètre appliqué au mouvement lyrique demeure uniforme et simple : c’est la simplicité même du culte se communiquant à l’art. […] Soit que cette poésie des hymnes homériques célèbre les grands spectacles de la nature, soit qu’elle rappelle les traditions du culte mythologique, jamais rien de subtil, comme dans les hymnes savants de Proclus, ou dans les réminiscences tardives placées sous le nom d’Orphée.
Mais nous sommes placé trop loin pour suivre, comme il faudrait, ces influences croisées.
Un volume a été immédiatement reconnu comme sortant de l’ordinaire, et son auteur, encore très jeune, peut être tout de suite placé à côté des poètes dont nous avons le droit d’être fiers.
Si les Philosophes de nos jours ont fait les derniers efforts pour répandre leurs systêmes désolans ; les vrais Apôtres de la Religion, à la tête desquels on doit placer M. l’Abbé Bergier, ont encore eu plus de zele pour défendre la vérité ; & la victoire a été évidemment du côté des derniers.
On peur, par cette raison, le placer entre Quinault & la Mothe, en distinguant les différentes nuances qui les caractérisent tous trois.