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547. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » p. 383

Il y a mêlé par intervalles une ironie fine, qui répand heureusement le ridicule sur ses adversaires, & plus particuliérement dans son Philosophe du Valais.

548. (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Roland de la Porte  »

La main touchait une surface plane, et l’œil toujours séduit voyait un relief ; en sorte qu’on aurait pu demander au philosophe de ces deux sens dont les témoignages se contredisaient, lequel était un menteur.

549. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 151-168

Quand il n’auroit fait que la Comédie du Glorieux & celle du Philosophe marié, il n’en mériteroit pas moins un des premiers rangs parmi les Poëtes comiques. […] Le Philosophe marié est d’un autre genre de mérite : il prouve combien Destouches avoit de ressource dans l’imagination : conduire pendant cinq actes, sans langueur & sans inutilité, un sujet qui paroît capable de fournir tout au plus deux ou trois scènes, ne sauroit être l’Ouvrage que d’un esprit qui connoissoit les secrets du cœur & savoir tout ramener à l’action théatrale.

550. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des pièces de théâtre — Préface de « Ruy Blas » (1839) »

Il a d’abord habité le haut de la société, voici maintenant qu’il vient se loger dans le bas, et qu’il s’en accommode ; il se moque de son parent l’ambitieux, qui est riche et qui est puissant ; il devient philosophe, et il compare les voleurs aux courtisans. […] Aux yeux de l’auteur, et sans préjudice de ce que les personnages accessoires peuvent apporter à la vérité de l’ensemble, ces quatre têtes ainsi groupées résumeraient les principales saillies qu’offrait au regard du philosophe historien la monarchie espagnole il y a cent quarante ans.

551. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Querelles générales, ou querelles sur de grands sujets. — Seconde Partie. De l’Éloquence. — Éloquence en général. » pp. 177-192

Il fit retenir de ses plaintes la plupart des collèges de Paris, & s’attacha principalement à tourner en ridicule un philosophe qui prononçoit sur des matières dont il n’appartenoit qu’aux rhéteurs de connoître. […] Ce philosophe y met, dans tout son jour, son sentiment.

552. (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre huitième. »

Molière, si philosophe, et malgré sa philosophie, si malheureux, dut faire quelque attention à ce vers. […] Sans croire, comme certains philosophes, que la nature partage également bien tous ses enfans, il est pourtant certain que c’est l’éducation qui met, entre un homme et un autre, l’énorme différence qui s’y trouve quelquefois : c’est d’ailleurs une opinion qu’on ne saurait trop répandre, parce qu’elle est le meilleur moyen d’encourager les réformes que l’on peut faire dans l’éducation, réformes sans lesquelles il est impossible de changer les fausses opinions et les mauvaises mœurs.

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