des serins, dont l’un sort de sa cage pour attraper des papillons. la poule hupée ne permet pas de regarder cela.
Nous nous permettrons, comme lui, les rapprochements et les excursions. […] Il n’est permis qu’à des maîtres célèbres de prendre ainsi parfois le chemin des écoliers. — Voilà pour la philologie. […] Sur quoi les comédiens, au siècle dernier et au commencement du nôtre, se permettaient de le supprimer. […] Rodrigue, enfin le Ciel permet que je te voie ! […] N’est-il pas permis, après tout, d’en choisir de moins élevés ?
Il se rappelle Damas, intelligent et plein de zèle, mais sans grâce et sans goût, poussant le travail jusqu’à la grimace, et se permettant le vers à la Molé, le vers de quinze pieds. […] Voici par exemple un duc de Parme qui permet, à sa cour, une des plus tristes méchancetés qui se puisse voir. […] À force de voir que tout lui était permis, il osa toucher au maître, à Molière, et pour son bénéfice (il appelait cela son bénéfice, le malheureux !) […] La comédie grecque se permet tout, même les louanges : plus d’une fois a-t-elle ouvert la volière de Psaphon, et les oiseaux de s’envoler en chantant : Psaphon est un dieu ! […] Que Lucinde ait jamais été la parente de Célimène, cette ravissante coquette, la seule femme sans état dans le monde que Molière se soit permise, on ne saurait le soutenir.
Sa vie trop brève et les circonstances ne lui ont pas permis de se faire connaître du public, mais cet inconnu doit être considéré comme un des logiciens du sentiment les plus extraordinaires que compte notre littérature… Il a sombré, ne laissant dans l’histoire littéraire, pour indiquer la place qu’il méritait, que cinq ou six cents lignes !
Cet égoïsme, si fort à la mode parmi les Journalistes & les Auteurs critiques de ce siecle, est d’autant plus déplacé & plus ridicule, qu’il blesse l’amour-propre des Lecteurs, sans tourner au profit de celui des Ecrivains qui se le permettent, puisqu’il ne décele en eux qu’une vanité capable d’affoiblir le mérite de leurs bonnes qualités.
Non véritablement : & faut, veuillez ou non, que vous desrorrillonniez, deschauvesourissiez, déretiez, c’est-à-dire, que ne portiez plus en aisles de chauvesouris ou en façon de retz, vos cheveux par lesquels soulez prendre diaboliquement & enfiler les hommes pour rassasier votre désordonné appétit, ou bien que vous soyez perdues & damnées……. par cette mondanité qui vous abuse, voire qui vous rend si laides & abominables à regarder ; que si vous saviez comme cela vous messied, vous y mettriez plutôt le feu que de les montrer par la mauvaise grace qu’ils vous donnent ; & pleust à la bonté de Dieu qu’il fust permis à toutes personnes d’appeler celles qui les portent, Paillardes & Putains, afin de les en corriger !